L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena à l’homme. Alors l’homme s’écria : Voici bien cette fois celle qui est os de mes os, chair de ma chair. On la nommera « Femme » car elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un.
Heureux l’homme |qui ne marche pas |selon les conseils |des méchants, qui ne va pas se tenir |sur le chemin des pécheurs, qui ne s’assied pas |en la compagnie |de ces gens qui se moquent de Dieu.
Quel être humain peut savoir ce qui se passe dans un autre homme ? Seul l’esprit de cet homme en lui le sait. De même, nul ne peut connaître ce qui est en Dieu si ce n’est l’Esprit de Dieu.
En effet, tout ce qui fait partie du monde : les mauvais désirs qui animent l’homme livré à lui-même, la soif de posséder ce qui attire les regards, et l’orgueil qu’inspirent les biens matériels, tout cela ne vient pas du Père, mais du monde.
Mes amis, puisque nous possédons ce qui nous a été promis en ces termes, purifions-nous de tout ce qui corrompt le corps et l’esprit, pour mener ainsi une vie pleinement sainte, dans la crainte de Dieu.
Mais quand vous aurez souffert un peu de temps, Dieu, l’auteur de toute grâce, qui vous a appelés à connaître sa gloire éternelle dans l’union à Jésus-Christ, vous rétablira lui-même ; il vous affermira, vous fortifiera et vous rendra inébranlables.