J’ai aussi constaté que tout labeur et que toute habileté que les hommes mettent à leurs œuvres sont motivés par la rivalité des uns envers les autres. Cela aussi est dérisoire : autant courir après le vent.
Un homme seul est facilement maîtrisé par un adversaire, mais à deux ils pourront tenir tête à celui-ci. Et une corde faite de trois cordelettes tressées n’est pas vite rompue.
Et veillons les uns sur les autres pour nous encourager mutuellement à l’amour et à la pratique du bien. Ne délaissons pas nos réunions, comme certains en ont pris l’habitude. Au contraire, encourageons-nous mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez se rapprocher le jour du Seigneur.