Il était méprisé, |abandonné des hommes, un homme de douleur habitué à la souffrance. Oui, il était semblable |à ceux devant lesquels |on détourne les yeux. Il était méprisé, et nous n’avons fait de lui aucun cas.
Pourtant, en vérité, |c’est de nos maladies |qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances |qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions |que Dieu l’avait puni, frappé et humilié.
Mais c’est pour nos péchés |qu’il a été percé, c’est pour nos fautes |qu’il a été brisé. Le châtiment |qui nous donne la paix |est retombé sur lui et c’est par ses blessures |que nous sommes guéris.
Approchons-nous donc du trône du Dieu de grâce avec une pleine assurance. Là, Dieu nous accordera sa bonté et nous donnera sa grâce pour que nous soyons secourus au bon moment.