Il était méprisé, |abandonné des hommes, un homme de douleur habitué à la souffrance. Oui, il était semblable |à ceux devant lesquels |on détourne les yeux. Il était méprisé, et nous n’avons fait de lui aucun cas.
Pourtant, en vérité, |c’est de nos maladies |qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances |qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions |que Dieu l’avait puni, frappé et humilié.
Mais c’est pour nos péchés |qu’il a été percé, c’est pour nos fautes |qu’il a été brisé. Le châtiment |qui nous donne la paix |est retombé sur lui et c’est par ses blessures |que nous sommes guéris.
L’un de vous est-il malade ? Qu’il appelle les responsables de l’Eglise, qui prieront pour lui, après lui avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur. La prière faite avec foi obtiendra la guérison du malade et le Seigneur le relèvera. S’il a commis quelque péché, il lui sera pardonné.