Maintenant, moi, Nabuchodonosor, je loue, j’exalte et je glorifie le Roi des cieux, car il agit en accord avec ses paroles et tout ce qu’il fait est juste, il a le pouvoir d’abaisser ceux qui vivent dans l’orgueil.
Malheur à qui conteste |avec son créateur ! Qu’es-tu de plus qu’un pot de terre |parmi des pots de terre ? L’argile dira-t-elle |à celui qui la forme : « Qu’es-tu en train de faire ? » ou l’œuvre à son potier : |« Tu n’es qu’un maladroit ! » ?
Qu’il n’en soit pas ainsi parmi vous. Au contraire : si quelqu’un veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur, si quelqu’un veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave.
A celui qui, par la puissance qui agit en nous, peut réaliser bien au-delà de tout ce que nous demandons ou même pensons, à lui soit la gloire dans l’Eglise et en Jésus-Christ pour toutes les générations et pour l’éternité. Amen !
Lorsque vous jeûnez, n’ayez pas, comme les hypocrites, une mine triste. Pour bien montrer aux gens qu’ils jeûnent, ils prennent des visages défaits. Vraiment, je vous l’assure : leur récompense, ils l’ont d’ores et déjà reçue !
Priez donc ainsi : Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite, sur la terre comme au ciel.
O Eternel, écoute ma prière |et sois attentif à mon cri ! Ne reste pas sourd à mes pleurs, car je ne suis, chez toi, |qu’un étranger, qu’un hôte temporaire, |tout comme mes ancêtres.
Tressaille d’allégresse, ô communauté de Sion ! Pousse des cris de joie, ô communauté de Jérusalem ! Car ton roi vient vers toi, il est juste et sauvé, humilié, monté sur un âne, sur un ânon, |le petit d’une ânesse.
Tournez-vous donc vers l’Eternel, |vous tous les humbles du pays, vous qui faites ce qui est droit, cherchez à accomplir |ce qui est juste. |Efforcez-vous d’être humbles ; peut-être serez-vous |mis à l’abri au jour de la colère |de l’Eternel.
Ne savez-vous pas que ceux qui pratiquent l’injustice n’auront aucune part au royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : il n’y aura point de part dans l’héritage de ce royaume pour les débauchés, les idolâtres, les adultères, les pervers ou les homosexuels, ni pour les voleurs, les avares, pas plus que pour les ivrognes, les calomniateurs ou les malhonnêtes.