Car je sauvais le pauvre |qui appelait à l’aide ainsi que l’orphelin |privé de tout secours. Ceux qui allaient mourir |me bénissaient, et je mettais la joie |dans le cœur de la veuve.
Si même je sacrifiais tous mes biens, et jusqu’à ma vie, pour aider les autres, au point de pouvoir m’en vanter, sans l’amour, cela ne me servirait de rien.