Je t’aime, ô Eternel, ma force ! L’Eternel est ma forteresse, |mon rocher, mon libérateur. Il est mon Dieu, le roc solide |où je me réfugie. Il est mon Sauveur tout-puissant, |mon rempart et mon bouclier.
Alors, dans ma détresse, |j’invoquai l’Eternel. Vers mon Dieu, je lançai |mon appel au secours, mon cri parvint à ses oreilles et, de son temple, il m’entendit.
Ta délivrance |me sert de bouclier, de ta main droite, |tu me soutiens, et ta sollicitude me grandit. Tu m’amènes à marcher |sur un chemin bien large, mes jambes ne fléchissent pas.
Une femme oublie-t-elle |l’enfant qu’elle nourrit ? Cesse-t-elle d’aimer |l’enfant qu’elle a conçu ? Et même si les mères |oubliaient leurs enfants, je ne t’oublierai pas ! Voici, je t’ai gravée |dans le creux de mes mains, je pense constamment |à tes remparts.