J’ai terminé, frères et sœurs. Soyez dans la joie. Travaillez à votre perfectionnement. Encouragez-vous mutuellement. Soyez d’accord entre vous. Vivez dans la paix. Alors le Dieu d’amour et de paix sera avec vous.
Mais pour ce qui nous concerne, il n’y a qu’un seul Dieu : le Père, de qui toute chose vient, et pour qui nous vivons, et il n’y a qu’un seul Seigneur : Jésus-Christ, par qui tout existe et par qui nous sommes.
Car voici ce que dit |le Dieu très élevé qui demeure éternellement, et qui est saint : J’habite dans un lieu |qui est très haut et saint, mais je demeure aussi |avec l’homme accablé, à l’esprit abattu, pour ranimer la vie |de qui a l’esprit abattu et vivifier le cœur |des hommes accablés.
Enseigne-moi, ô Eternel, |la voie que tu veux que je suive, et je me conduirai |selon ta vérité. Accorde-moi un cœur |tel qu’il te craigne sans partage.
En effet, « c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l’être », comme l’ont aussi affirmé certains de vos poètes, car « nous sommes ses enfants ».
Vous aviez projeté de me faire du mal, mais par ce que vous avez fait, Dieu a projeté du bien en vue d’accomplir ce qui se réalise aujourd’hui, pour sauver la vie à un peuple nombreux.
Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus habite en vous, celui qui a ressuscité Christ rendra aussi la vie à votre corps mortel par son Esprit qui habite en vous.
Le vainqueur portera ainsi des vêtements blancs, je n’effacerai jamais son nom du livre de vie, je le reconnaîtrai comme mien en présence de mon Père et de ses anges.
Ma vie m’importe peu, je ne lui accorde aucun prix ; mon but c’est d’aller jusqu’au bout de ma course et d’accomplir pleinement le service que le Seigneur m’a confié c’est-à-dire de proclamer l’Evangile, ce message de la grâce de Dieu.
En effet, l’amour de Christ nous étreint, car nous avons acquis la certitude qu’un seul homme est mort pour tous : donc tous sont morts en lui. Et il est mort pour tous afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort à leur place et ressuscité pour eux.
Je suis tiraillé de deux côtés : j’ai le désir de quitter cette vie pour être avec Christ, car c’est, de loin, le meilleur. Mais il est plus nécessaire que je demeure dans ce monde à cause de vous.
Par sa puissance, en effet, Dieu nous a donné tout ce qu’il faut pour vivre dans la piété, en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par la manifestation de sa propre gloire et l’intervention de sa force.
C’est pourquoi, nous aussi qui sommes entourés d’une si grande nuée de témoins, débarrassons-nous de tout fardeau, et du péché qui nous cerne si facilement de tous côtés, et courons avec endurance l’épreuve qui nous est proposée.
Au contraire, tout comme celui qui vous a appelés est saint, soyez saints dans tout votre comportement. Car voici ce que Dieu dit dans l’Ecriture : Soyez saints, car je suis saint.
Vous avez été libérés de cette manière futile de vivre que vous ont transmise vos ancêtres et vous savez à quel prix. Ce n’est pas par des biens périssables comme l’argent et l’or. Non, il a fallu que Christ, tel un agneau pur et sans défaut, verse son sang précieux en sacrifice pour vous.
Si je devais traverser |la vallée où règnent |d’épaisses ténèbres, je ne craindrais aucun mal, |car tu es auprès de moi : ta houlette me conduit |et ton bâton me protège.