La foule de ceux qui avaient cru n'était qu'un cœur et qu'une âme. Personne ne disait que ses biens lui appartenaient en propre, mais ils mettaient tout en commun.
Tous ceux qui étaient devenus des croyants vivaient dans une parfaite unité de cœur et d’esprit. Personne ne se prétendait propriétaire de ses biens, mais ils partageaient tout ce qu’ils avaient.
Qui suis-je, en effet, et qui est mon peuple, pour que nous puissions te faire ces offrandes volontaires? Oui, tout vient de toi et nous recevons de ta main ce que nous t'offrons.