Le jeûne qui me plaît est celui qui consiste |à détacher les liens |de la méchanceté, à délier les courroies |de toute servitude, à mettre en liberté |tous ceux que l’on opprime et à briser |toute espèce de joug.
Si, le jour du sabbat, |tu te retiens de travailler, si tu t’abstiens |de traiter tes affaires |en ce jour qui m’est consacré, si pour toi le jour du sabbat |est un temps de délices, si ce saint jour de l’Eternel, |tu le tiens en estime et si tu le respectes en t’abstenant de faire |ce qui te plaît, de traiter tes affaires et de tenir de longs discours, alors tu trouveras |ta joie en l’Eternel, et sur les hauteurs du pays |je te ferai passer et je te donnerai |la pleine jouissance |du patrimoine |de Jacob, ton ancêtre. L’Eternel a parlé.
Et nous tous qui, le visage découvert, contemplons, comme dans un miroir, la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en son image dans une gloire dont l’éclat ne cesse de grandir. C’est là l’œuvre du Seigneur, c’est-à-dire de l’Esprit.
Et Jésus répondit : Moi, je suis le pain qui donne la vie. Celui qui vient à moi n’aura plus jamais faim, celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif.