Le jour de la colère, la richesse ne sert à rien: c'est la justice qui délivre de la mort. | La richesse ne sera d’aucun secours au jour de la colère divine, mais être juste sauve de la mort. |
La fortune du riche est sa forteresse: dans son imagination, elle est comme une haute muraille. | La fortune du riche lui tient lieu de place forte, il s’imagine qu’ils sont un rempart inaccessible. |
Les trésors acquis par la méchanceté ne sont d’aucun profit, mais la justice délivre de la mort. | Les biens des méchants ne leur profitent pas, mais mener une vie juste sauve de la mort. |
Je sais vivre dans la pauvreté et je sais vivre dans l'abondance. Partout et en toutes circonstances j'ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l'abondance et à être dans le besoin. | Je sais vivre dans le dénuement, je sais aussi vivre dans l’abondance. C’est le secret que j’ai appris : m’accommoder à toutes les situations et toutes les circonstances, que je sois rassasié ou que j’aie faim, que je connaisse l’abondance ou que je sois dans le besoin. |
En effet, si l'un de vous veut construire une tour, il s'assied d'abord pour calculer la dépense et voir s'il a de quoi la terminer. | En effet, si l’un de vous veut bâtir une tour, est-ce qu’il ne prend pas d’abord le temps de s’asseoir pour calculer ce qu’elle lui coûtera et de vérifier s’il a les moyens de mener son entreprise à bonne fin ? |
Et même, si un homme a reçu de Dieu des richesses et des biens, s'il lui a donné le pouvoir d'en manger, d'en prendre sa part et de se réjouir au milieu de son travail, c'est un cadeau de Dieu. | En effet, si Dieu donne à un homme des richesses et des biens, et s’il lui accorde la possibilité d’en profiter, d’en retirer sa part et de trouver de la joie au milieu de son labeur, c’est un don de Dieu. |
J’ai autant de joie à suivre tes instructions que si je possédais tous les trésors. | J’ai de la joie |à suivre tes préceptes autant que si je possédais tous les trésors. |
Personne ne peut servir deux maîtres, car ou il détestera le premier et aimera le second, ou il s'attachera au premier et méprisera le second. Vous ne pouvez pas servir Dieu et l’argent. | Nul ne peut être en même temps au service de deux maîtres, car ou bien il détestera l’un et aimera l’autre, ou bien il sera dévoué au premier et méprisera le second. Vous ne pouvez pas servir en même temps Dieu et l’Argent. |
C'est de toi que viennent la richesse et l’honneur, c'est toi qui domines sur tout, c'est dans ta main que sont la force et la puissance, et c'est ta main qui a le pouvoir de tout agrandir et de tout fortifier. | Et c’est de toi que viennent |la richesse et la gloire. Tu domines sur tout et dans ta main résident |la force et la puissance, tu détiens le pouvoir |d’élever qui tu veux |et de le rendre fort. |
Si quelqu’un qui possède les biens de ce monde voit son frère dans le besoin et lui ferme son cœur, comment l'amour de Dieu peut-il demeurer en lui? | Si quelqu’un qui possède du bien en ce monde voit son frère dans le besoin et lui ferme son cœur, l’amour de Dieu ne peut être présent en lui. |
On peut hériter des parents une maison et des richesses, mais une femme prudente est un don de l'Eternel. | Un homme peut hériter maison et richesse de ses pères, mais seul l’Eternel peut lui donner une femme intelligente. |
L'Eternel appauvrit et il enrichit, il abaisse et il élève. | L’Eternel seul |dépouille et enrichit, il humilie, |et il élève aussi. |
Mieux vaut peu, honnêtement gagné, que de grands revenus acquis injustement. | Mieux vaut le peu honnêtement obtenu que de gros revenus mal acquis. |
Vous le savez en effet, ce n'est pas par des choses corruptibles comme l'argent ou l'or que vous avez été rachetés de la manière de vivre dépourvue de sens que vous avaient transmise vos ancêtres, mais par le sang précieux de Christ, qui s’est sacrifié comme un agneau sans défaut et sans tache. | Vous avez été libérés de cette manière futile de vivre que vous ont transmise vos ancêtres et vous savez à quel prix. Ce n’est pas par des biens périssables comme l’argent et l’or. Non, il a fallu que Christ, tel un agneau pur et sans défaut, verse son sang précieux en sacrifice pour vous. |
Comme attristés, et pourtant nous sommes toujours joyeux; comme pauvres, et pourtant nous en enrichissons beaucoup; comme n'ayant rien, alors que nous possédons tout. | On nous croit affligés, et nous sommes toujours joyeux, pauvres, et nous faisons beaucoup de riches, dépourvus de tout, alors que tout nous appartient. |
L'Eternel rétablit la situation de Job quand celui-ci eut prié pour ses amis; il lui accorda le double de tout ce qu'il avait possédé. | Puis, lorsque Job eut prié pour ses amis, l’Eternel le rétablit dans son ancienne condition. Il donna même à Job deux fois autant des biens qu’il avait possédés. |
Quand les biens sont nombreux, ceux qui les mangent le sont aussi, et quel avantage en tire leur possesseur? Il ne peut que les voir de ses propres yeux! | Plus on possède de biens, plus se multiplient les profiteurs. Et quel avantage en tire leur possesseur si ce n’est le spectacle que lui offrent ces gens ? |
Le méchant emprunte, et il ne rend pas; le juste est compatissant, et il donne. | Le méchant emprunte |mais il ne rend pas ; le juste a pitié, |il est généreux. |
En effet, les coutumes des peuples sont vides de sens. C’est du bois qu’on coupe dans la forêt: la main de l'ouvrier le travaille avec la hache, on l'embellit avec de l'argent et de l'or, on le fixe avec des clous et des marteaux pour qu'il ne bouge pas. Ces dieux ressemblent à un poteau massif: ils ne parlent pas. Il faut bien qu’on les porte, puisqu’ils ne peuvent pas marcher! N’ayez pas peur d’eux, car ils ne peuvent faire aucun mal; ils sont même incapables de faire du bien. | Les coutumes des autres peuples |sont inutiles, leur dieu n’est que du bois |coupé dans la forêt, travaillé au ciseau |par la main d’un sculpteur. On l’embellit d’argent ou d’or, un marteau et des clous |le font tenir en place pour qu’il ne branle pas ! Ces dieux-là sont semblables |à des épouvantails |dans un champ de concombres : ils ne savent parler, il faut qu’on les transporte car ils ne marchent pas. Ne les craignez donc pas : ils ne font pas de mal ; et ils ne peuvent pas |non plus faire du bien. |
Le riche domine sur les pauvres, et celui qui emprunte est l'esclave de celui qui prête. | Le riche domine le pauvre, qui emprunte se met sous la coupe de son créancier. |
Que le frère de condition humble tire fierté de son élévation. Que le riche, au contraire, se montre fier de son abaissement, car il disparaîtra comme la fleur de l'herbe. | Que le frère ou la sœur pauvre soit fier de ce que Dieu l’élève, et le riche de ce que Dieu l’abaisse. En effet, il passera comme la fleur des champs. |
Celui qui a reçu la semence parmi les ronces, c'est celui qui entend la parole, mais les préoccupations de ce monde et l’attrait trompeur des richesses étouffent cette parole et la rendent infructueuse. | Un autre encore a reçu la semence « parmi les ronces ». C’est celui qui écoute la Parole, mais en qui elle ne porte pas de fruit parce qu’elle est étouffée par les soucis de ce monde et par l’attrait trompeur des richesses. |
Pierre lui dit: «Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton cœur, au point que tu aies menti au Saint-Esprit et gardé une partie du prix du champ? S'il n'avait pas été vendu, ne te restait-il pas? Et, après l'avoir vendu, n'avais-tu pas le droit de disposer du prix? Comment as-tu pu former dans ton cœur un projet pareil? Ce n'est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.» | Pierre lui dit : Ananias, comment as-tu pu laisser Satan envahir à tel point ton cœur ? Tu as menti au Saint-Esprit en cachant le prix réel de ton champ pour en détourner une partie à ton profit ! N’étais-tu pas libre de garder ta propriété ? Ou même, après l’avoir vendue, ne pouvais-tu pas faire de ton argent ce que tu voulais ? Comment as-tu pu décider en toi-même de commettre une telle action ? Ce n’est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu. |
La richesse d'un homme peut servir de rançon pour sa vie, mais le pauvre n’a pas à subir la menace. | La fortune du riche sert de rançon pour sa vie, mais le pauvre n’entend pas de menaces. |
En effet, tu nous as mis à l’épreuve, ô Dieu, tu nous as purifiés au creuset comme l’argent. | Tu nous as éprouvés, ô Dieu, tu nous as jetés au creuset |comme on fait pour l’argent. |