Je vis les morts, les grands et les petits, comparaissant devant le trône. Des livres furent ouverts. On ouvrit aussi un autre livre : le livre de vie. Les morts furent jugés, chacun d’après ses actes, suivant ce qui était inscrit dans ces livres. La mer avait rendu ses naufragés, la mort et le royaume des morts avaient rendu ceux qu’ils détenaient. Et tous furent jugés, chacun conformément à ses actes.
Car l’Eternel ton Dieu |est au milieu de toi |un guerrier qui te sauve. Il sera transporté de joie |à ton sujet et il te renouvellera |dans son amour pour toi. Oui, il sera dans l’allégresse |à ton sujet et poussera des cris de joie.
Nous devons toujours remercier Dieu à votre sujet, frères et sœurs, et il est juste que nous le fassions. En effet, votre foi fait de magnifiques progrès et, en chacun de vous, l’amour que vous vous portez les uns aux autres ne cesse d’augmenter.
Mais j’ai été protégé par Dieu jusqu’à ce jour et je suis donc encore là pour apporter mon témoignage aux gens d’humble condition comme aux personnages importants. Et ce que je déclare, ce n’est rien d’autre que les événements dont les prophètes et Moïse ont annoncé l’accomplissement : c’est-à-dire que le Messie souffrirait, et qu’il serait le premier à ressusciter pour annoncer la lumière du salut, non seulement au peuple juif, mais aussi aux non-Juifs.
Car, qui donc suis-je, et qui donc est mon peuple pour avoir les moyens |de t’offrir de tels dons ? Tout cela vient de toi, et c’est de ta main même |que nous avons reçu |ce que nous te donnons.