C’est pourquoi Dieu l’a élevé à la plus haute place et il lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, pour qu’au nom de Jésus tout être s’agenouille dans les cieux, sur la terre et jusque sous la terre. | C'est aussi pourquoi Dieu l'a élevé à la plus haute place et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom afin qu'au nom de Jésus chacun plie le genou dans le ciel, sur la terre et sous la terre. |
Et leur dit : Celui qui accueille cet enfant en mon nom m’accueille moi-même, et celui qui m’accueille, accueille aussi celui qui m’a envoyé. Car celui qui est le plus petit parmi vous, c’est celui-là qui est grand. | Et leur dit: «Celui qui accueille en mon nom ce petit enfant, c’est moi-même qu’il accueille, et celui qui m’accueille accueille celui qui m'a envoyé. En effet, celui qui est le plus petit parmi vous tous, c'est celui-là qui est grand.» |
Moi, je suis le vrai plant de vigne et mon Père est le vigneron. Tous les sarments, en moi, qui ne portent pas de fruit, il les coupe, et tous ceux qui en portent, il les purifie afin qu’ils produisent un fruit encore plus abondant. | C’est moi qui suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il l’enlève; et tout sarment qui porte du fruit, il le taille afin qu'il porte encore plus de fruit. |
Moi, je vous baptise dans l’eau, en signe d’un profond changement. Mais quelqu’un vient après moi : il est bien plus puissant que moi et je ne suis même pas digne de lui enlever les sandales. C’est lui qui vous baptisera dans le Saint-Esprit et le feu. | Moi, je vous baptise d'eau en vue de la repentance, mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi et je ne suis pas digne de porter ses sandales. Lui, il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu. |
Pour celui-ci, tel jour a plus d’importance qu’un autre ; pour celui-là, ils sont tous égaux : à chacun d’avoir une pleine conviction en lui-même. | L'un fait une différence entre les jours, un autre les estime tous égaux. Que chacun ait dans son esprit une pleine conviction. |
Car la Parole de Dieu est vivante et efficace. Elle est plus tranchante que toute épée à double tranchant et, pénétrant jusqu’à la division de l’âme ainsi que de l’esprit, et des jointures ainsi que de la moelle, elle juge les dispositions et les pensées du cœur. | En effet, la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante que toute épée à deux tranchants, pénétrante jusqu’à séparer âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. |
Le cœur est tortueux |plus que toute autre chose, et il est incurable, qui pourrait le connaître ? Moi, l’Eternel, |moi, je sonde les cœurs, je scrute le tréfonds de l’être pour donner à chacun |ce que lui auront valu sa conduite et les effets |de ses agissements. | Le cœur est tortueux plus que tout, et il est incurable. Qui peut le connaître? Moi, l'Eternel, j’explore le cœur, j’examine les reins pour traiter chacun conformément à sa conduite, au fruit de ses agissements. |
Or Dieu ne tient plus compte des temps où les hommes ne le connaissaient pas. Aujourd’hui, il leur annonce à tous, et partout, qu’ils doivent changer. | Sans tenir compte des temps d'ignorance, Dieu annonce maintenant à tous les êtres humains, partout où ils se trouvent, qu'ils doivent changer d’attitude. |
Vous qui cherchez à être déclarés justes par Dieu en accomplissant la Loi, vous êtes séparés de Christ : vous n’êtes plus sous le régime de la grâce. | Vous êtes séparés de Christ, vous tous qui cherchez à être considérés comme justes dans le cadre de la loi, vous êtes déchus de la grâce. |
Mais il y a une différence entre la faute et le don de la grâce ! En effet, si la faute d’un seul a eu pour conséquence la mort de beaucoup, à bien plus forte raison la grâce de Dieu, don gratuit qui vient d’un seul homme, Jésus-Christ, a surabondé pour beaucoup. | Mais il y a une différence entre le don gratuit et la faute. En effet, si beaucoup sont morts par la faute d'un seul, la grâce de Dieu et le don de la grâce qui vient d'un seul homme, Jésus-Christ, ont bien plus abondamment été déversés sur beaucoup. |
Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront et personne ne pourra les arracher de ma main. Mon Père qui me les a données est plus grand que tous, et personne ne peut arracher qui que ce soit de la main de mon Père. Or, moi et le Père, nous ne sommes qu’un. | Je leur donne la vie éternelle. Elles ne périront jamais et personne ne pourra les arracher à ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous et personne ne peut les arracher à la main de mon Père. Le Père et moi, nous sommes un. |
Par-dessus tout, veille soigneusement sur ton cœur, car il est à la source de tout ce qui fait ta vie. | Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui jaillissent les sources de la vie. |
Leur rendent la pureté extérieure. Mais Christ s’est offert lui-même à Dieu, sous la conduite de l’Esprit éternel, comme une victime sans défaut. A combien plus forte raison, par conséquent, son sang purifiera-t-il notre conscience des œuvres qui mènent à la mort afin que nous servions le Dieu vivant. | Si tel est le cas, le sang de Christ, qui s’est offert lui-même à Dieu par l'Esprit éternel comme une victime sans défaut, purifiera d’autant plus votre conscience des œuvres mortes afin que vous serviez le Dieu vivant! |
Ne vend-on pas une paire de moineaux pour un sou ? Et pourtant, pas un seul d’entre eux ne tombe à terre sans le consentement de votre Père. Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. N’ayez donc aucune crainte, car vous, vous avez plus de valeur que toute une volée de moineaux. | Ne vend-on pas deux moineaux pour une petite pièce? Cependant, pas un ne tombe par terre sans l’accord de votre Père. Même vos cheveux sont tous comptés. N’ayez donc pas peur: vous valez plus que beaucoup de moineaux. |
Et toute la foule, de la tête à la fin du cortège, criait : Hosanna au Fils de David ! Béni soit celui qui vient |au nom du Seigneur ! Hosanna à Dieu au plus haut des cieux ! | Ceux qui précédaient et ceux qui suivaient Jésus criaient: «Hosanna au Fils de David! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur! Hosanna dans les lieux très hauts!» |
Et veillons les uns sur les autres pour nous encourager mutuellement à l’amour et à la pratique du bien. Ne délaissons pas nos réunions, comme certains en ont pris l’habitude. Au contraire, encourageons-nous mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez se rapprocher le jour du Seigneur. | Veillons les uns sur les autres pour nous inciter à l'amour et à de belles œuvres. N’abandonnons pas notre assemblée, comme certains en ont l’habitude, mais encourageons-nous mutuellement. Faites cela d'autant plus que vous voyez s'approcher le jour. |
Les médisances sont comme des friandises : elles descendent jusqu’au tréfonds de l’être. | Les paroles du critiqueur sont comme des friandises: elles descendent au plus profond de l'être. |
Vous de même, maris, vivez chacun avec votre femme en faisant preuve de discernement, et en tenant compte de la nature plus délicate de la femme. Traitez-les avec respect : elles doivent recevoir avec vous la vie que Dieu accorde dans sa grâce. Agissez ainsi afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières. | Maris, vivez de même en montrant de la compréhension à votre femme, en tenant compte de sa nature plus délicate; montrez-lui de l’estime, car elle doit hériter avec vous de la grâce de la vie. Agissez ainsi afin que rien ne fasse obstacle à vos prières. |
Mais le jeune homme leur dit : N’ayez pas peur ! Vous cherchez Jésus de Nazareth, celui qui a été crucifié ? Il est ressuscité, il n’est plus ici. Voyez l’endroit où on l’avait déposé. | Il leur dit: «N'ayez pas peur. Vous cherchez Jésus de Nazareth, celui qui a été crucifié. Il est ressuscité, il n'est pas ici! Voici l'endroit où on l'avait déposé.» |
Ainsi, nous bénéficions des dons infiniment précieux que Dieu nous avait promis. Il a voulu, par ces dons, vous rendre conformes au caractère de Dieu, vous qui avez fui la corruption que les mauvais désirs font régner dans ce monde. | Celles-ci nous assurent les plus grandes et les plus précieuses promesses. Ainsi, grâce à elles, vous pouvez fuir la corruption qui existe dans le monde par la convoitise et devenir participants de la nature divine. |
En effet, l’amour de Christ nous étreint, car nous avons acquis la certitude qu’un seul homme est mort pour tous : donc tous sont morts en lui. Et il est mort pour tous afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort à leur place et ressuscité pour eux. | C’est que l'amour de Christ nous presse, parce que nous sommes convaincus que si un seul est mort pour tous, tous donc sont morts. Et s’il est mort pour tous, c’était afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux. |
Ne faites donc rien par esprit de rivalité, ou par un vain désir de vous mettre en avant ; au contraire, par humilité, considérez les autres comme plus importants que vous-mêmes. | Ne faites rien par esprit de rivalité ou par désir d’une gloire sans valeur, mais avec humilité considérez les autres comme supérieurs à vous-mêmes. |
Je t’ai avoué ma faute, je n’ai plus caché mes torts, j’ai dit : « Je reconnaîtrai |devant l’Eternel |les péchés que j’ai commis. » Alors tu m’as déchargé |du poids de ma faute. Pause | Je t’ai fait connaître mon péché, je n’ai pas caché ma faute. J’ai dit: «J’avouerai mes transgressions à l’Eternel», et tu as pardonné mon péché. – Pause. |
Le dernier jour de la fête, le jour le plus solennel, Jésus se tint devant la foule et lança à pleine voix : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et que celui qui croit en moi boive. | Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus, debout, s'écria: «Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive.» |
Allez donc apprendre quel est le sens de cette parole : Ce que je veux, c’est la compassion bien plus que les sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. | Allez apprendre ce que signifie: Je désire la bonté, et non les sacrifices. En effet, je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs, à changer d’attitude. |