23 mars 2019

L’homme désespéré ^|a droit à de la compassion ^|de la part d’un ami,
oui, même s’il cessait de craindre ^|le Tout-Puissant.

Celui qui souffre a droit à la bienveillance de son ami,
même s’il abandonne la crainte du Tout-Puissant.

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Car ce à quoi tend l’homme livré à lui-même mène à la mort, tandis que ce à quoi tend l’Esprit conduit à la vie et à la paix.

Il faut cependant qu’il la demande avec foi, sans douter, car celui qui doute ressemble aux vagues de la mer agitées et soulevées par le vent.

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