Versets Biblique sur 'D’un'
- Eternel, tu bénis le juste
et tu le couvres de ta grâce, |comme d’un bouclier. - Or, qui sait faire le bien et ne le fait pas se rend coupable d’un péché.
- Comme, par la désobéissance d’un seul, beaucoup d’hommes ont été déclarés pécheurs devant Dieu, de même, par l’obéissance d’un seul, beaucoup seront déclarés justes devant Dieu.
- Le père d’un juste est au comble de la joie,
qui a donné la vie à un fils sage s’en réjouit. - Va, mange ton pain dans la joie et bois ton vin d’un cœur content, car Dieu a déjà agréé tes œuvres !
- Venez à moi, vous tous qui êtes accablés sous le poids d’un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos.
- Quand l’orgueil remplit le cœur d’un homme, sa ruine est proche.
Avant d’être honoré, il faut savoir être humble. - L’homme désespéré |a droit à de la compassion |de la part d’un ami,
oui, même s’il cessait de craindre |le Tout-Puissant. - Mais il y a une différence entre la faute et le don de la grâce ! En effet, si la faute d’un seul a eu pour conséquence la mort de beaucoup, à bien plus forte raison la grâce de Dieu, don gratuit qui vient d’un seul homme, Jésus-Christ, a surabondé pour beaucoup.
- Car vous êtes nés à une vie nouvelle, non d’un homme mortel, mais d’une semence immortelle : la Parole vivante et éternelle de Dieu.
- Et c’est parce qu’il a été ainsi amené à la perfection qu’il est devenu, pour tous ceux qui lui obéissent, l’auteur d’un salut éternel.
- Eux tous, d’un commun accord, se retrouvaient souvent pour prier, avec quelques femmes, avec Marie la mère de Jésus, et avec les frères de Jésus.
- Regardez dans l’eau : vous verrez votre propre visage s’y réfléchir.
Sondez le cœur d’un homme : vous verrez s’y réfléchir votre propre cœur. - Puis il dit à tous : Gardez-vous avec soin du désir de posséder, sous toutes ses formes, car la vie d’un homme, si riche soit-il, ne dépend pas de ses biens.
- Cessons donc de nous condamner les uns les autres.
Prenez plutôt la décision de ne rien mettre en travers du chemin d’un frère qui puisse le faire trébucher ou tomber. - Oui, reprit Paul, Jean baptisait les Israélites en signe d’un profond changement, mais il leur disait aussi de croire en celui qui viendrait après lui, c’est-à-dire en Jésus.
- Fuis les passions qui assaillent un jeune homme. Fais tous tes efforts pour cultiver la foi, l’amour et la paix avec tous ceux qui font appel au Seigneur d’un cœur pur.
- Je m’engage envers vous par alliance à ce que toutes les créatures ne soient plus jamais détruites par les eaux d’un déluge et qu’il n’y ait plus de déluge pour ravager la terre.
- Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir.
- Tous les jours, d’un commun accord, ils se retrouvaient dans la cour du Temple ; ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leurs repas dans la joie, avec simplicité de cœur. Ils louaient Dieu, et le peuple tout entier leur était favorable.
Le Seigneur ajoutait chaque jour à leur communauté ceux qu’il sauvait. - D’un côté, l’Eternel |est lent à la colère,
sa puissance est immense,
mais il ne laisse pas |le coupable impuni.
L’Eternel fraie sa route |dans l’ouragan et la tempête,
et les nuées sont la poussière |que soulèvent ses pieds. - Que votre parure ne soit pas extérieure : cheveux habilement tressés, bijoux en or, toilettes élégantes, mais la parure cachée de l’être intérieur : la beauté impérissable d’un esprit doux et paisible, à laquelle Dieu attache un grand prix.
- Je me suis laissé consulter
par des personnes |qui ne demandaient rien,
et je me suis laissé trouver
par des personnes |qui ne me cherchaient pas.
J’ai dit : « Je suis là, je suis là ! »
aux gens d’un peuple |qui n’était pas appelé par mon nom. - Moi, je vous baptise dans l’eau, en signe d’un profond changement. Mais quelqu’un vient après moi : il est bien plus puissant que moi et je ne suis même pas digne de lui enlever les sandales. C’est lui qui vous baptisera dans le Saint-Esprit et le feu.
- Dans l’amour, il n’y a pas de place pour la crainte, car l’amour parvenu à une pleine maturité chasse toute crainte. En effet, la crainte suppose la perspective d’un châtiment. L’amour de celui qui vit dans la crainte n’est pas encore parvenu à sa pleine maturité.
- Christ nous a rendus libres pour que nous connaissions la vraie liberté. C’est pourquoi tenez bon et ne vous mettez pas à nouveau sous le joug de l’esclavage.
- Tu ne haïras pas ton frère dans ton cœur, mais tu ne manqueras pas de reprendre ton prochain pour ne pas te charger d’un péché. Tu ne te vengeras pas et tu ne garderas pas de rancune envers les membres de ton peuple, mais tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l’Eternel.
- S’il refuse de les écouter, dis-le à l’Eglise. S’il refuse aussi d’écouter l’Eglise, considère-le comme un païen et un collecteur d’impôts.
- Je serai plein de joie, |l’Eternel en sera la source.
J’exulterai |à cause de mon Dieu,
parce qu’il m’aura revêtu |des habits du salut
et qu’il m’aura enveloppé |du manteau de justice,
tout comme le marié |se pare d’un turban |tout comme un prêtre,
et comme la mariée |s’orne de ses bijoux. - Ils lui arrachèrent ses vêtements et le revêtirent d’un manteau écarlate. Ils lui posèrent sur la tête une couronne tressée de rameaux épineux ; dans sa main droite, ils placèrent un roseau en guise de sceptre. Ils s’agenouillèrent devant lui en disant sur un ton sarcastique : Salut, roi des Juifs !
- Supportez-vous les uns les autres, et si l’un de vous a quelque chose à reprocher à un autre, pardonnez-vous mutuellement ; le Seigneur vous a pardonné : vous aussi, pardonnez-vous de la même manière.
- Tenez donc ferme : ayez autour de la taille la vérité pour ceinture, et revêtez-vous de la droiture en guise de cuirasse. Ayez pour chaussures à vos pieds la disponibilité à servir l’Evangile de la paix. En toute circonstance, saisissez-vous de la foi comme d’un bouclier avec lequel vous pourrez éteindre toutes les flèches enflammées du diable.
- Lui qui était de condition divine,
ne chercha pas à profiter
de l’égalité avec Dieu,
mais il s’est dépouillé lui-même,
et il a pris
la condition d’un serviteur
en se rendant semblable aux hommes :
se trouvant ainsi reconnu
à son aspect, comme un simple homme,
il s’abaissa lui-même
en devenant obéissant,
jusqu’à subir la mort,
oui, la mort sur la croix. - Béni soit l’homme |qui met sa confiance |en l’Eternel
et qui fonde sur l’Eternel |toute son assurance.
Il sera comme un arbre |planté près d’un cours d’eau
qui étend ses racines |vers le ruisseau,
il ne redoute rien |lorsque vient la chaleur :
ses feuilles restent vertes ;
il ne s’inquiète pas
pendant l’année de sécheresse,
et il ne cesse pas |de produire du fruit. - Les coutumes des autres peuples |sont inutiles,
leur dieu n’est que du bois |coupé dans la forêt,
travaillé au ciseau |par la main d’un sculpteur.
On l’embellit d’argent ou d’or,
un marteau et des clous |le font tenir en place
pour qu’il ne branle pas !
Ces dieux-là sont semblables |à des épouvantails |dans un champ de concombres :
ils ne savent parler,
il faut qu’on les transporte
car ils ne marchent pas.
Ne les craignez donc pas :
ils ne font pas de mal ;
et ils ne peuvent pas |non plus faire du bien. - Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité !
Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu.
Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat !
Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ?
Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.
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