Si ton frère s’est rendu coupable d’une faute, reprends-le et, s’il change d’attitude, pardonne-lui. Et même s’il se rend coupable à ton égard sept fois au cours de la même journée, et que sept fois il vienne te trouver en disant qu’il change d’attitude, pardonne-lui.
Et même s’il vous arrivait de souffrir parce que vous faites ce qui est juste, vous seriez heureux. Ne craignez pas les hommes, ne vous laissez pas troubler.
Si quelqu’un prétend aimer Dieu tout en détestant son frère, c’est un menteur. Car s’il n’aime pas son frère qu’il voit, il ne peut pas aimer Dieu qu’il ne voit pas.
Si le méchant se détourne de toutes les fautes qu’il a commises, s’il obéit à tous mes commandements et agit avec droiture et selon la justice, il ne mourra pas, il vivra.
Moi, je suis la résurrection et la vie, lui dit Jésus. Celui qui place toute sa confiance en moi vivra, même s’il meurt. Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?
Par conséquent, si quelqu’un n’obéit pas ne serait-ce qu’à un seul de ces commandements – même s’il s’agit du moindre d’entre eux – et s’il apprend aux autres à faire de même, il sera lui-même considéré comme « le moindre » dans le royaume des cieux. Au contraire, celui qui obéira à ces commandements et qui les enseignera aux autres, sera considéré comme grand dans le royaume des cieux.
Mon fils, si l’Eternel te corrige, n’en fais pas fi, s’il te reprend, ne t’impatiente pas, car c’est celui qu’il aime que l’Eternel reprend, agissant avec lui comme un père avec l’enfant qu’il chérit.
En effet, si l’un de vous veut bâtir une tour, est-ce qu’il ne prend pas d’abord le temps de s’asseoir pour calculer ce qu’elle lui coûtera et de vérifier s’il a les moyens de mener son entreprise à bonne fin ?
En effet, si Dieu donne à un homme des richesses et des biens, et s’il lui accorde la possibilité d’en profiter, d’en retirer sa part et de trouver de la joie au milieu de son labeur, c’est un don de Dieu.
Si alors mon peuple qui est appelé de mon nom s’humilie, prie et recherche ma grâce, s’il se détourne de sa mauvaise conduite, moi, je l’écouterai du ciel, je lui pardonnerai ses péchés et je guérirai son pays.
Cependant, il sait bien |quelle voie j’ai suivie. S’il me met à l’épreuve, |je sortirai pur comme l’or. Car j’ai toujours suivi |la trace de ses pas. J’ai marché sur la voie |qu’il a prescrite, |je n’en ai pas dévié.
Que dire maintenant ? La Loi se confond-elle avec le péché ? Loin de là ! Seulement, s’il n’y avait pas eu la Loi, je n’aurais pas connu le péché, et je n’aurais pas su ce qu’est la convoitise si la Loi n’avait pas dit : Tu ne convoiteras pas.
Mais il y a un fait que vous ne devez pas oublier, mes chers amis : c’est que, pour le Seigneur, un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour.
S’il vous déplaît de servir l’Eternel, alors choisissez aujourd’hui à quels dieux vous voulez rendre un culte : ceux que vos ancêtres adoraient de l’autre côté de l’Euphrate ou ceux des Amoréens dont vous habitez le pays ; quant à moi et à ma famille, nous adorerons l’Eternel.
C’est lui qui nous a sauvés et nous a appelés à mener une vie sainte. Et s’il l’a fait, ce n’est pas à cause de ce que nous avons fait, mais bien parce qu’il en avait librement décidé ainsi, à cause de sa grâce. Cette grâce, il nous l’a donnée de toute éternité en Jésus-Christ.
S’il l’a fait, ce n’est pas parce que nous avons accompli des actes conformes à ce qui est juste. Non. Il nous a sauvés parce qu’il a eu compassion de nous, en nous faisant passer par le bain purificateur de la nouvelle naissance, c’est-à-dire en nous renouvelant par le Saint-Esprit.
L’un de vous est-il malade ? Qu’il appelle les responsables de l’Eglise, qui prieront pour lui, après lui avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur. La prière faite avec foi obtiendra la guérison du malade et le Seigneur le relèvera. S’il a commis quelque péché, il lui sera pardonné.