J’ai aussi constaté que tout labeur et que toute habileté que les hommes mettent à leurs œuvres sont motivés par la rivalité des uns envers les autres. Cela aussi est dérisoire : autant courir après le vent.
Un homme seul est facilement maîtrisé par un adversaire, mais à deux ils pourront tenir tête à celui-ci. Et une corde faite de trois cordelettes tressées n’est pas vite rompue.
L’Eternel est mon berger. Je ne manquerai de rien. Grâce à lui, je me repose |dans des prairies verdoyantes, et c’est lui qui me conduit |au bord des eaux calmes.