Mets ta confiance en l’Eternel de tout ton cœur, et ne te repose pas sur ta propre intelligence. Tiens compte de lui pour tout ce que tu entreprends, et il te conduira sur le droit chemin.
Je suis le cep de la vigne, vous en êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, portera du fruit en abondance, car sans moi, vous ne pouvez rien faire.
L’Eternel est mon berger. Je ne manquerai de rien. Grâce à lui, je me repose |dans des prairies verdoyantes, et c’est lui qui me conduit |au bord des eaux calmes.
Ayez les uns pour les autres une égale considération. Ne visez pas à ce qui est trop haut, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. Ne vous prenez pas pour des sages.
Car, qui donc suis-je, et qui donc est mon peuple pour avoir les moyens |de t’offrir de tels dons ? Tout cela vient de toi, et c’est de ta main même |que nous avons reçu |ce que nous te donnons.
Au jour du bonheur, jouis du bonheur, et au jour du malheur, réfléchis, car Dieu a fait l’un et l’autre, de sorte que l’homme ne puisse rien deviner de son avenir.
Ce n’est pas grâce à leur épée |qu’ils ont occupé cette terre, ni par leur propre force |qu’ils ont remporté la victoire : mais c’est par ton action puissante, car tu leur étais favorable |et les avais en affection.
Chacun de nous a, dans un seul corps, de nombreux organes ; mais ces organes n’ont pas la même fonction. De même, alors que nous sommes nombreux, nous formons ensemble un seul corps par notre union avec Christ, et nous sommes tous, et chacun pour sa part, membres les uns des autres.
D’un côté, l’Eternel |est lent à la colère, sa puissance est immense, mais il ne laisse pas |le coupable impuni. L’Eternel fraie sa route |dans l’ouragan et la tempête, et les nuées sont la poussière |que soulèvent ses pieds.
Car, par la foi en Jésus-Christ, vous êtes tous fils et filles de Dieu. Car vous tous qui avez été baptisés pour Christ, vous vous êtes revêtus de Christ.