Tu ignores quel est le chemin du vent, et tu ne sais pas comment se forment les os de l’embryon dans le sein de sa mère ; de même, tu ne connais pas l’œuvre du Dieu qui fait toutes choses.
Et nous ne portons pas notre attention sur les choses visibles, mais sur les réalités encore invisibles. Car les réalités visibles ne durent qu’un temps, mais les invisibles demeureront éternellement.
Je demande que le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père qui possède la gloire, vous donne, par son Esprit, sagesse et révélation, pour que vous le connaissiez.
Autant le ciel est élevé |au-dessus de la terre, autant les voies que je vous ai prescrites |sont élevées au-dessus de vos voies, et autant mes pensées |sont élevées loin au-dessus des vôtres.
Ne le sais-tu donc pas ? Et n’as-tu pas appris que l’Eternel est Dieu |de toute éternité ? C’est lui qui a créé |les confins de la terre. Il ne se lasse pas, |il ne s’épuise pas, et son intelligence |ne peut être sondée.
Au contraire, progressez sans cesse dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. A lui soit la gloire dès maintenant et pour l’éternité. Amen.
Malheur à qui conteste |avec son créateur ! Qu’es-tu de plus qu’un pot de terre |parmi des pots de terre ? L’argile dira-t-elle |à celui qui la forme : « Qu’es-tu en train de faire ? » ou l’œuvre à son potier : |« Tu n’es qu’un maladroit ! » ?
Combien grandes sont les richesses de Dieu, combien profondes sa sagesse et sa science ! Nul ne peut sonder ses jugements. Nul ne peut découvrir ses plans.
Je combats pour eux afin qu’ils soient encouragés et que, unis par l’amour, ils accèdent ensemble, en toute sa richesse, à la certitude que donne la compréhension du secret de Dieu et à la pleine connaissance de ce secret, c’est-à-dire de Christ.
Dans votre cœur, reconnaissez le Seigneur – c’est-à-dire Christ – comme saint ; si l’on vous demande de justifier votre espérance, soyez toujours prêts à la défendre.