Celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas n'est pas digne de moi. | Et celui qui ne se charge pas de sa croix et ne me suit pas n’est pas digne de moi. |
L’Eternel est grand et digne de recevoir toute louange, sa grandeur est insondable. | L’Eternel est grand |et très digne de louanges, sa grandeur est insondable. |
Enfin, frères et sœurs, portez vos pensées sur tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est digne d'être aimé, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est synonyme de qualité morale et ce qui est digne de louange. | Enfin, frères et sœurs, nourrissez vos pensées de tout ce qui est vrai, noble, juste, pur, digne d’amour ou d’approbation, de tout ce qui est vertueux et mérite louange. |
Celui qui propage des calomnies dévoile des secrets, tandis que l'homme digne de confiance les garde. | Le médisant divulgue les secrets ; un homme de confiance tient la chose cachée. |
Moi, je vous baptise d'eau en vue de la repentance, mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi et je ne suis pas digne de porter ses sandales. Lui, il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu. | Moi, je vous baptise dans l’eau, en signe d’un profond changement. Mais quelqu’un vient après moi : il est bien plus puissant que moi et je ne suis même pas digne de lui enlever les sandales. C’est lui qui vous baptisera dans le Saint-Esprit et le feu. |
La grâce est trompeuse et la beauté est illusoire; c'est de la femme qui craint l'Eternel qu’on chantera les louanges. | Or le charme est trompeur |et la beauté fugace ; la femme qui craint l’Eternel |est digne de louanges. |
J'estime que les souffrances du moment présent ne sont pas dignes d’être comparées à la gloire qui va être révélée pour nous. | J’estime d’ailleurs qu’il n’y a aucune commune mesure entre les souffrances de la vie présente et la gloire qui va se révéler en nous. |
Si tu retiens ton pied, pendant le sabbat, pour ne pas faire ce qui te plaît durant mon saint jour, si tu considères le sabbat comme un plaisir, le jour saint de l’Eternel comme digne d’être honoré, et si tu l'honores en ne suivant pas tes voies habituelles, en ne cherchant pas à accomplir tes propres désirs et en ne parlant pas dans le vide, alors tu trouveras ton plaisir dans l'Eternel. Alors je te ferai monter sur les hauteurs du pays et te ferai jouir de l'héritage de ton ancêtre Jacob. Oui, c’est l’Eternel qui l’affirme. | Si, le jour du sabbat, |tu te retiens de travailler, si tu t’abstiens |de traiter tes affaires |en ce jour qui m’est consacré, si pour toi le jour du sabbat |est un temps de délices, si ce saint jour de l’Eternel, |tu le tiens en estime et si tu le respectes en t’abstenant de faire |ce qui te plaît, de traiter tes affaires et de tenir de longs discours, alors tu trouveras |ta joie en l’Eternel, et sur les hauteurs du pays |je te ferai passer et je te donnerai |la pleine jouissance |du patrimoine |de Jacob, ton ancêtre. L’Eternel a parlé. |
La loi de l’Eternel est parfaite, elle donne du réconfort; le témoignage de l’Eternel est vrai, il rend sage celui qui manque d’expérience. | La Loi de l’Eternel est parfaite, |elle nous redonne vie. L’acte de l’alliance de l’Eternel |est digne de confiance, |et aux gens inexpérimentés |elle donne la sagesse. |
Encourage les esclaves à se soumettre à leurs maîtres, à leur être agréables en tout, à ne pas les contredire ni commettre le moindre vol, mais à se montrer toujours dignes de confiance, afin d’honorer pleinement la doctrine de Dieu notre Sauveur. | Aux esclaves, tu recommanderas d’être soumis à leurs maîtres en toutes choses. Qu’ils cherchent à leur donner satisfaction, qu’ils évitent de les contredire et se gardent de toute fraude ; qu’ils se montrent au contraire dignes d’une entière confiance. Ainsi ils rendront attrayant l’enseignement de Dieu notre Sauveur. |
Maris, aimez votre femme comme Christ a aimé l'Eglise. Il s'est donné lui-même pour elle afin de la conduire à la sainteté après l'avoir purifiée et lavée par l'eau de la parole. | Quant à vous, maris, que chacun de vous aime sa femme comme Christ a aimé l’Eglise : il a donné sa vie pour elle afin de la rendre digne de se tenir devant Dieu après l’avoir purifiée par sa Parole, comme par le bain nuptial. |
En revanche, celui qui ne l’a pas connue et qui a fait des choses dignes de punition sera battu de peu de coups. On demandera beaucoup à qui l'on a beaucoup donné, et l’on exigera davantage de celui à qui l'on a beaucoup confié. | Mais celui qui n’aura pas su ce que son maître voulait, et qui aura commis des actes méritant une punition, celui-là subira un châtiment peu rigoureux. Si quelqu’un a beaucoup reçu, on exigera beaucoup de lui ; et plus on vous aura confié, plus on demandera de vous. |
Eux qui ont remplacé la vérité de Dieu par le mensonge et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen! C'est pour cette raison que Dieu les a livrés à des passions déshonorantes: leurs femmes ont remplacé les rapports sexuels naturels par des relations contre nature; de même, les hommes ont abandonné les rapports naturels avec la femme et se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres; ils ont commis homme avec homme des actes scandaleux et ont reçu en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. Comme ils n'ont pas jugé bon de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur intelligence déréglée, de sorte qu'ils commettent des actes indignes. | Oui, ils ont délibérément échangé la vérité concernant Dieu contre le mensonge, ils ont adoré la créature et lui ont rendu un culte, au lieu du Créateur, lui qui est béni éternellement. Amen ! Voilà pourquoi Dieu les a abandonnés à des passions avilissantes : leurs femmes ont renoncé aux relations sexuelles naturelles pour se livrer à des pratiques contre nature. Les hommes, de même, délaissant les rapports naturels avec le sexe féminin, se sont enflammés de désir les uns pour les autres ; ils ont commis entre hommes des actes honteux et ont reçu en leur personne le salaire que méritaient leurs égarements. Ils n’ont pas jugé bon de connaître Dieu, c’est pourquoi Dieu les a abandonnés à leur pensée faussée, si bien qu’ils font ce qu’on ne doit pas. |
Jésus enseignait dans une des synagogues, le jour du sabbat. Or il y avait là une femme habitée par un esprit qui la rendait infirme depuis 18 ans; elle était courbée et ne pouvait pas du tout se redresser. Lorsqu'il la vit, Jésus lui adressa la parole et lui dit: «Femme, tu es délivrée de ton infirmité.» Il posa les mains sur elle; immédiatement elle se redressa, et elle se mit à célébrer la gloire de Dieu. Mais le chef de la synagogue, indigné de ce que Jésus avait fait une guérison un jour de sabbat, dit à la foule: «Il y a six jours pour travailler, venez donc vous faire guérir ces jours-là et non pas le jour du sabbat.» Le Seigneur lui répondit en ces termes: «Hypocrites! Le jour du sabbat, chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener boire? Et cette femme, qui est une fille d'Abraham et que Satan tenait attachée depuis 18 ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat?» Ces paroles remplirent de honte tous ses adversaires, et la foule entière se réjouissait de toutes les merveilles qu'il faisait. | Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité ! Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu. Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat ! Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ? Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses. |