Où pourrais-je aller |loin de ton Esprit ? Où pourrais-je fuir |hors de ta présence ? Si je monte au ciel |tu es là, et si je descends |au séjour des morts, |t’y voilà !
Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir.
Priez donc ainsi : Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite, sur la terre comme au ciel.
Tout le peuple venait se faire baptiser, et Jésus fut aussi baptisé. Or, pendant qu’il priait, le ciel s’ouvrit et le Saint-Esprit descendit sur lui, sous une forme corporelle, comme une colombe. Une voix retentit alors du ciel : Tu es mon Fils bien-aimé, tu fais toute ma joie.
Très bien, lui dit son maître, tu es un bon serviteur, en qui l’on peut avoir confiance. Tu t’es montré fidèle en peu de choses. C’est pourquoi je t’en confierai de plus importantes. Viens partager la joie de ton maître !
Mais toi, quand tu jeûnes, parfume tes cheveux et lave ton visage pour que personne ne se rende compte que tu es en train de jeûner, sauf ton Père qui est là dans le lieu secret. Alors ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.
O Eternel, |veuille agir en fonction |de la compassion |et de l’amour, qui te caractérisent |depuis toujours. Ne tiens plus compte |de ces péchés de ma jeunesse, |de mes fautes passées, mais traite-moi |selon ta grâce, car tu es bon |ô Eternel !
A toi, Eternel, appartiennent |la grandeur, la puissance |et la magnificence, et la gloire et la majesté. Car tout ce qui est dans le ciel |et sur la terre |est à toi, Eternel. C’est à toi qu’appartient le règne, tu es le souverain |au-dessus de tout être.
Toi donc, qui que tu sois, qui condamnes autrui, tu n’as aucune excuse, car en condamnant les autres, tu te condamnes toi-même, puisque toi qui les condamnes, tu te conduis comme eux.
Ne délaisse pas ton ami, ni l’ami de ton père, et quand le malheur t’atteint, ne t’adresse pas à ta parenté : un voisin près de toi vaut mieux qu’un parent qui se trouve loin.
Et toi, Bethléhem Ephrata, bien que tu sois petite |parmi les villes de Juda, de toi il sortira pour moi celui qui régnera sur Israël ! Son origine |remonte aux temps passés, aux jours anciens.
Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité ! Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu. Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat ! Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ? Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.