En effet, je n'ai pas honte de l'Evangile de Christ: c’est la puissance de Dieu pour le salut de tout homme qui croit, du Juif d’abord, mais aussi du non-Juif.
Je vous rappelle, frères et sœurs, l'Evangile que je vous ai annoncé, que vous avez reçu et dans lequel vous tenez ferme. C’est aussi par lui que vous êtes sauvés si vous le retenez dans les termes où je vous l'ai annoncé; autrement, votre foi aurait été inutile.
Tenez donc ferme: ayez autour de votre taille la vérité en guise de ceinture; enfilez la cuirasse de la justice; mettez comme chaussures à vos pieds le zèle pour annoncer l'Evangile de paix; prenez en toute circonstance le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre toutes les flèches enflammées du mal.
En sachant bien qu’elle n'est pas faite pour les justes mais pour les malfaiteurs et les rebelles, les impies et les pécheurs, les sacrilèges et les profanateurs, ceux qui tueraient père et mère, les meurtriers, ceux qui vivent dans l’immoralité sexuelle, les homosexuels, les trafiquants d'esclaves, les menteurs, les parjures et tout ce qui est contraire à la saine doctrine. Voilà ce qui est conforme au glorieux Evangile du Dieu bienheureux tel qu’il m'a été confié.
Je vous donnerai un cœur nouveau et je mettrai en vous un esprit nouveau. Je retirerai de votre corps le cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair.
Quelqu'un parmi vous est-il malade? Qu'il appelle les anciens de l'Eglise et que les anciens prient pour lui en lui appliquant de l’huile au nom du Seigneur. La prière de la foi sauvera le malade et le Seigneur le relèvera. S'il a commis des péchés, le pardon lui sera accordé.