Pourtant, ô Eternel, |tu es pour moi un bouclier |qui me protège. O toi ma gloire, |tu me feras marcher encore |la tête haute. | Mais toi, Eternel, tu es mon bouclier, tu es ma gloire, et tu relèves ma tête. |
Tu es un abri pour moi, |tu me gardes du danger. Autour de moi retentissent |les chants de la délivrance. Pause | Tu es un abri pour moi, tu me préserves de la détresse, tu m’entoures de chants de délivrance. – Pause. |
Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père. Et maintenant déjà vous le connaissez, vous l’avez même vu. | Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez et vous l'avez vu. |
Dès le matin, |annonce-moi |ta bienveillance, car c’est en toi |que j’ai mis ma confiance ! Fais-moi connaître |la voie que je dois suivre, car c’est vers toi |que je me tourne ! | Dès le matin, fais-moi entendre ta bonté, car je me confie en toi! Fais-moi connaître le chemin où je dois marcher, car je me tourne vers toi! |
Que, le jour, l’Eternel |me montre son amour : je passerai la nuit |à chanter ses louanges et j’adresserai ma prière |au Dieu qui me fait vivre. | Le jour, l’Eternel m’accordait sa grâce; la nuit, je chantais ses louanges, j’adressais ma prière au Dieu de ma vie. |
Tu me feras connaître |le chemin de la vie : plénitude de joie |en ta présence, délices éternelles |auprès de toi. | Tu me fais connaître le sentier de la vie; il y a d’abondantes joies dans ta présence, un bonheur éternel à ta droite. |
J’ai choisi le chemin |de la fidélité, je me conforme |à tes décrets. | Je choisis la voie de la fidélité, je place tes lois sous mes yeux. |
Le Père qui m’a envoyé a la vie en lui-même, et c’est lui qui me fait vivre ; ainsi, celui qui se nourrit de moi vivra lui aussi par moi. | Tout comme le Père qui est vivant m'a envoyé et que je vis grâce au Père, ainsi celui qui me mange vivra grâce à moi. |
Enseigne-moi |à accomplir |ce qui te plaît, car tu es mon Dieu ! Que ton Esprit qui est bon me conduise |sur un sol aplani. | Enseigne-moi à faire ta volonté, car c’est toi qui es mon Dieu. Que ton bon Esprit me conduise sur le terrain de la droiture! |
Aussi pouvons-nous dire avec assurance : Le Seigneur vient à mon secours, |je n’aurai pas de crainte, que me feraient les hommes ? | C'est donc avec assurance que nous pouvons dire: Le Seigneur est mon secours, je n’aurai peur de rien. Que peut me faire un homme? |
Garde-moi de la fausseté et du mensonge, ne me donne ni pauvreté ni richesse ; accorde-moi seulement la nourriture nécessaire. | Éloigne de moi la fausseté et le mensonge, et ne me donne ni pauvreté ni richesse, mais accorde-moi le pain qui m'est nécessaire! |
Regarde-moi avec bonté : |je suis ton serviteur ! Viens me sauver dans ton amour ! | Fais briller ton visage sur ton serviteur, sauve-moi par ta grâce! |
Je tends les mains vers toi, je me sens devant toi |comme une terre aride. Pause | Je tends les mains vers toi, je soupire après toi comme une terre assoiffée. – Pause. |
Comme une biche tourne la tête |vers le cours d’eau, je me tourne vers toi, ô Dieu ! | Comme une biche soupire après des cours d’eau, ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu! |
Pour entrer dans le royaume des cieux, il ne suffit pas de me dire : « Seigneur ! Seigneur ! », il faut accomplir la volonté de mon Père céleste. | Ceux qui me disent: ‘Seigneur, Seigneur!’ n'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais seulement celui qui fait la volonté de mon Père céleste. |
Je ne touchai à aucun mets délicat ; je ne pris ni viande, ni vin, et je ne me frottai d’aucune huile parfumée pendant ces trois semaines. | Je n’ai mangé aucune nourriture raffinée, il n'est entré ni viande ni vin dans ma bouche et je ne me suis pas parfumé jusqu'à la fin des trois semaines. |
Je manifesterai ma grandeur et ma sainteté, je me ferai connaître à de nombreux peuples et ils reconnaîtront que je suis l’Eternel. | Ainsi, je manifesterai ma grandeur et ma sainteté et je me ferai connaître aux yeux de beaucoup de nations. Elles reconnaîtront alors que je suis l'Eternel. |
Tout m’est permis. Certes, mais tout n’est pas bon pour moi. Tout m’est permis, c’est vrai, mais je ne veux pas me placer sous un esclavage quelconque. | Tout m'est permis, mais tout n'est pas utile; tout m'est permis, mais je ne me laisserai pas dominer par quoi que ce soit. |
Que personne, devant la tentation, ne dise : « C’est Dieu qui me tente. » Car Dieu ne peut pas être tenté par le mal et il ne tente lui-même personne. | Que personne, lorsqu'il est tenté, ne dise: «C'est Dieu qui me tente», car Dieu ne peut pas être tenté par le mal et il ne tente lui-même personne. |
Pour sûr, c’est à Dieu seul |que, dans le calme, |je me remets : mon salut vient de lui. | Oui, c’est en Dieu que mon âme se confie; de lui vient mon salut. |
Le jour où j’ai peur, je mets ma confiance en toi. | Quand je suis dans la crainte, je me confie en toi. |
Si même je sacrifiais tous mes biens, et jusqu’à ma vie, pour aider les autres, au point de pouvoir m’en vanter, sans l’amour, cela ne me servirait de rien. | Et si je distribue tous mes biens aux pauvres, si même je livre mon corps aux flammes, mais que je n'ai pas l'amour, cela ne me sert à rien. |
Voici : je me tiens devant la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je dînerai avec lui et lui avec moi. | Voici, je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui et lui avec moi. |
Jésus parla de nouveau en public : Moi, je suis la lumière du monde, dit-il. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres : il aura la lumière de la vie. | Jésus leur parla de nouveau. Il dit: «Je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura au contraire la lumière de la vie.» |
Qui s’abrite auprès du Très-Haut, repose sous la protection |du Tout-Puissant. Je dis à l’Eternel : |« Tu es mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie ! » | Celui qui habite sous l’abri du Très-Haut repose à l’ombre du Tout-Puissant. Je dis à l’Eternel: «Tu es mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie!» |