Versets Biblique sur 'Me'
- Je suis tombé à terre et j’ai entendu une voix qui me demandait : « Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? » Je me suis écrié.
- Eternel, |tu me sondes |et tu me connais.
Toi, tu sais quand je m’assieds |et quand je me lève.
De loin, tu discernes |tout ce que je pense. - Oui, tu es pour moi un rocher, |et une forteresse :
à cause de ce que tu es, |toi, tu me guideras |et tu me conduiras. - Je peux tout, grâce à celui qui me fortifie.
- Je me suis laissé consulter
par des personnes |qui ne demandaient rien,
et je me suis laissé trouver
par des personnes |qui ne me cherchaient pas.
J’ai dit : « Je suis là, je suis là ! »
aux gens d’un peuple |qui n’était pas appelé par mon nom. - Vraiment, je vous l’assure : qui reçoit celui que j’envoie me reçoit moi-même, et qui me reçoit, reçoit celui qui m’a envoyé.
- Ta délivrance |me sert de bouclier,
de ta main droite, |tu me soutiens,
et ta sollicitude me grandit.
Tu m’amènes à marcher |sur un chemin bien large,
mes jambes ne fléchissent pas. - O Dieu, protège-moi, |car je me réfugie en toi.
- Le Seigneur continuera à me délivrer de toute entreprise mauvaise et me sauvera pour son royaume céleste. A lui soit la gloire pour l’éternité. Amen.
- Vous vous tournerez vers moi et vous me trouverez lorsque vous vous tournerez vers moi de tout votre cœur.
- Puis, s’adressant à tous, il dit : Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive.
- L’Eternel est mon berger.
Je ne manquerai de rien.
Grâce à lui, je me repose |dans des prairies verdoyantes,
et c’est lui qui me conduit |au bord des eaux calmes. - Pourtant, ô Eternel, |tu es pour moi un bouclier |qui me protège.
O toi ma gloire, |tu me feras marcher encore |la tête haute. - L’Eternel est pour moi, |je n’aurai pas de crainte,
que me feraient les hommes ? - Jamais, je n’oublierai |tes ordonnances,
car c’est par elles |que tu me vivifies. - Dans la paix, je me couche |et m’endors aussitôt ;
grâce à toi seul, ô Eternel, |je demeure en sécurité. - Et celui qui ne se charge pas de sa croix et ne me suit pas n’est pas digne de moi.
- Car celui qui me trouve |a découvert la vie,
il obtient la faveur |de l’Eternel. - Et toi, ô Eternel, |tu ne retiendras pas |loin de moi ta tendresse :
ton amour, ta fidélité |sans cesse me protégeront. - Si quelqu’un veut être à mon service, qu’il me suive. Là où je serai, mon serviteur y sera aussi. Si quelqu’un est à mon service, le Père lui fera honneur.
- Là-dessus, Jésus appela la foule ainsi que ses disciples et leur dit : Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive.
- Que, le jour, l’Eternel |me montre son amour :
je passerai la nuit |à chanter ses louanges
et j’adresserai ma prière |au Dieu qui me fait vivre. - Si je devais traverser |la vallée où règnent |d’épaisses ténèbres,
je ne craindrais aucun mal, |car tu es auprès de moi :
ta houlette me conduit |et ton bâton me protège. - J’ai soif de Dieu, |du Dieu vivant !
Quand donc pourrai-je aller |et me présenter devant Dieu ? - J’ai choisi le chemin |de la fidélité,
je me conforme |à tes décrets. - Je loue Dieu pour sa parole,
je mets ma confiance en lui, |et je n’ai pas peur.
Que pourraient me faire |de simples créatures terrestres ? - Je lève les yeux vers les monts :
d’où le secours me viendra-t-il ?
Mon secours vient de l’Eternel
qui a fait le ciel et la terre. - Eternel, au matin, |ma voix se fait entendre,
car, dès le point du jour, |je me présente à toi, |et puis j’attends … - Regarde-moi avec bonté : |je suis ton serviteur !
Viens me sauver dans ton amour ! - Tu es un abri pour moi, |tu me gardes du danger.
Autour de moi retentissent |les chants de la délivrance.
Pause - Je tends les mains vers toi,
je me sens devant toi |comme une terre aride.
Pause - Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père. Et maintenant déjà vous le connaissez, vous l’avez même vu.
- Comme une biche tourne la tête |vers le cours d’eau,
je me tourne vers toi, ô Dieu ! - Pour sûr, c’est à Dieu seul |que, dans le calme, |je me remets :
mon salut vient de lui. - Tu me feras connaître |le chemin de la vie :
plénitude de joie |en ta présence,
délices éternelles |auprès de toi. - Enseigne-moi |à accomplir |ce qui te plaît,
car tu es mon Dieu !
Que ton Esprit qui est bon me conduise |sur un sol aplani. - Le Père qui m’a envoyé a la vie en lui-même, et c’est lui qui me fait vivre ; ainsi, celui qui se nourrit de moi vivra lui aussi par moi.
- Garde-moi de la fausseté et du mensonge,
ne me donne ni pauvreté ni richesse ;
accorde-moi seulement la nourriture nécessaire. - Aussi pouvons-nous dire avec assurance :
Le Seigneur vient à mon secours, |je n’aurai pas de crainte,
que me feraient les hommes ? - Dès le matin, |annonce-moi |ta bienveillance,
car c’est en toi |que j’ai mis ma confiance !
Fais-moi connaître |la voie que je dois suivre,
car c’est vers toi |que je me tourne ! - Je ne me suis pas écarté, |de ses commandements.
J’ai fait plier ma volonté |pour obéir à ses paroles. - Pour moi, je mets mon espérance |en l’Eternel,
je m’attends au Dieu qui me sauve,
et mon Dieu m’entendra. - Moi, je me suis tourné |vers l’Eternel |et il m’a répondu.
Oui, il m’a délivré |de toutes mes frayeurs. - Je ne touchai à aucun mets délicat ; je ne pris ni viande, ni vin, et je ne me frottai d’aucune huile parfumée pendant ces trois semaines.
- Pour entrer dans le royaume des cieux, il ne suffit pas de me dire : « Seigneur ! Seigneur ! », il faut accomplir la volonté de mon Père céleste.
- Je manifesterai ma grandeur et ma sainteté, je me ferai connaître à de nombreux peuples et ils reconnaîtront que je suis l’Eternel.
- Que personne, devant la tentation, ne dise : « C’est Dieu qui me tente. » Car Dieu ne peut pas être tenté par le mal et il ne tente lui-même personne.
- Du fond de ma détresse, |j’ai fait appel à l’Eternel,
et il m’a répondu |en me faisant échapper au danger. - Tout m’est permis. Certes, mais tout n’est pas bon pour moi. Tout m’est permis, c’est vrai, mais je ne veux pas me placer sous un esclavage quelconque.
- Qu’une armée vienne m’assiéger,
mon cœur reste sans crainte.
Que l’on me déclare la guerre,
je suis plein d’assurance.
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