C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme et les deux ne feront plus qu’un. | C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, s'attachera à sa femme, et les deux ne feront qu’un. |
Malheur à qui conteste |avec son créateur ! Qu’es-tu de plus qu’un pot de terre |parmi des pots de terre ? L’argile dira-t-elle |à celui qui la forme : « Qu’es-tu en train de faire ? » ou l’œuvre à son potier : |« Tu n’es qu’un maladroit ! » ? | Malheur à l’homme qui intente un procès à celui qui l’a façonné, lui qui n’est qu’un vase parmi d’autres vases de terre! L'argile dit-elle au potier: «Que fais-tu?» ou: «Ton travail est mal fait»? |
O Eternel, écoute ma prière |et sois attentif à mon cri ! Ne reste pas sourd à mes pleurs, car je ne suis, chez toi, |qu’un étranger, qu’un hôte temporaire, |tout comme mes ancêtres. | Ecoute ma prière, Eternel, et prête l’oreille à mes cris! Ne sois pas insensible à mes larmes, car je suis un étranger chez toi, un résident temporaire, comme tous mes ancêtres. |
Ce qu’on apprécie chez un homme, c’est sa bonté, et mieux vaut un pauvre qu’un menteur. | Ce qui fait le charme d'un homme, c'est sa bonté. Mieux vaut un pauvre qu'un menteur. |
Qui aime la connaissance désire être corrigé, qui déteste les réprimandes n’est qu’un sot. | Celui qui aime l’instruction aime la connaissance, celui qui déteste le reproche est un idiot. |
Bien avant qu’un mot |vienne sur mes lèvres, Eternel, |tu sais déjà tout |ce que je vais dire. | La parole n’est pas encore sur ma langue que déjà, Eternel, tu la connais entièrement. |
Mais pour ce qui nous concerne, il n’y a qu’un seul Dieu : le Père, de qui toute chose vient, et pour qui nous vivons, et il n’y a qu’un seul Seigneur : Jésus-Christ, par qui tout existe et par qui nous sommes. | Néanmoins, pour nous il n'y a qu'un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses et pour qui nous vivons, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui tout existe et par qui nous vivons. |
Qu’en est-il donc de la question de la consommation des viandes sacrifiées aux idoles ? Nous savons qu’il n’existe pas d’idoles dans le monde et qu’il n’y a qu’un seul Dieu. | Donc, pour ce qui est de manger des viandes sacrifiées aux idoles, nous savons qu’une idole n’est rien dans le monde et qu'il n'y a qu’un seul Dieu. |
Qui a beaucoup de compagnons les a pour son malheur, mais un véritable ami est plus attaché qu’un frère. | Celui qui a beaucoup de compagnons les a pour son malheur, mais il y a des amis plus attachés que des frères. |
Il est bon qu’un homme ait de l’empathie |et qu’il prête à autrui, et qu’avec équité, |il gère ses affaires. | Il est bon que l’homme fasse grâce et qu’il prête, qu’il règle ses affaires conformément au droit. |
Eh bien, un homme a beaucoup plus de valeur qu’un mouton ! Il est donc permis de faire du bien le jour du sabbat. | Or, un homme vaut beaucoup plus qu'une brebis! Il est donc permis de faire du bien les jours de sabbat. |
Mieux vaut un homme lent à la colère qu’un bon guerrier, mieux vaut savoir se dominer que de conquérir des villes. | La lenteur à la colère vaut mieux que l’héroïsme; mieux vaut être maître de soi que s’emparer de villes. |
Mais, au commencement de la création, Dieu a créé l’être humain homme et femme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un. Ainsi, ils ne sont plus deux, ils font un. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. | Mais au commencement de la création, Dieu a fait l'homme et la femme; c'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et les deux ne feront qu’un. Ainsi, ils ne sont plus deux mais ne font qu’un. Que l'homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. |
Je me dis : Qu’est-ce que l’homme, |pour que tu en prennes soin, et qu’est-ce qu’un être humain |pour qu’à lui tu t’intéresses ? | Je dis: «Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui, et le fils de l’homme, pour que tu prennes soin de lui?» |
Un témoin honnête ne ment pas ; mais le faux témoin profère des mensonges. | Un témoin fidèle ne ment pas, tandis qu’un faux témoin dit des mensonges. |
Si quelqu’un ne prend pas soin des siens, en particulier des membres de sa famille, il a renié la foi et il est pire qu’un incroyant. | Si quelqu'un ne prend pas soin des siens, et en particulier des membres de sa famille proche, il a renié la foi et il est pire qu'un non-croyant. |
Or il n’y a qu’un seul législateur et juge, celui qui peut sauver et faire périr. Mais pour qui te prends-tu, toi qui juges ton prochain ? | Un seul est législateur et juge: c'est celui qui peut sauver et perdre. Mais toi, qui es-tu pour juger ton prochain? |
Pour celui-ci, tel jour a plus d’importance qu’un autre ; pour celui-là, ils sont tous égaux : à chacun d’avoir une pleine conviction en lui-même. | L'un fait une différence entre les jours, un autre les estime tous égaux. Que chacun ait dans son esprit une pleine conviction. |
Il leur répondit : N’avez-vous pas lu dans les Ecritures qu’au commencement le Créateur a créé l’être humain homme et femme et qu’il a déclaré : C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un ? Ainsi, ils ne sont plus deux, ils font un. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. | Il répondit: «N'avez-vous pas lu que le Créateur, au commencement, a fait l'homme et la femme et qu'il a dit: C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et les deux ne feront qu’un? Ainsi, ils ne sont plus deux mais ne font qu’un. Que l'homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.» |
Ne délaisse pas ton ami, ni l’ami de ton père, et quand le malheur t’atteint, ne t’adresse pas à ta parenté : un voisin près de toi vaut mieux qu’un parent qui se trouve loin. | N'abandonne pas ton ami, ni celui de ton père, et n'entre pas dans la maison de ton frère, le jour où tu es dans la détresse! Mieux vaut un voisin proche qu'un frère éloigné. |
C’est donc qu’un repos de sabbat subsiste pour le peuple de Dieu. Car celui qui est entré dans le repos prévu par Dieu se repose de ses œuvres, comme Dieu s’est reposé des siennes. | Il reste donc un repos de sabbat pour le peuple de Dieu. En effet, celui qui entre dans le repos de Dieu se repose lui aussi de son activité, tout comme Dieu s'est reposé de la sienne. |
C’est pourquoi, fuyez l’inconduite sexuelle. Tous les autres péchés qu’un homme peut commettre n’impliquent pas son corps, mais celui qui se livre à l’inconduite pèche contre son propre corps. | Fuyez l'immoralité sexuelle. Tout autre péché qu'un homme commet est extérieur à son corps, mais celui qui se livre à l'immoralité sexuelle pèche contre son propre corps. |
Le corps humain forme un tout, et pourtant il a beaucoup d’organes. Et tous ces organes, dans leur multiplicité, ne constituent qu’un seul corps. Il en va de même pour ceux qui sont unis à Christ. | Le corps forme un tout mais a pourtant plusieurs organes, et tous les organes du corps, malgré leur grand nombre, ne forment qu'un seul corps. Il en va de même pour Christ. |
Et nous ne portons pas notre attention sur les choses visibles, mais sur les réalités encore invisibles. Car les réalités visibles ne durent qu’un temps, mais les invisibles demeureront éternellement. | Ainsi nous regardons non pas à ce qui est visible, mais à ce qui est invisible, car les réalités visibles sont passagères et les invisibles sont éternelles. |
L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena à l’homme. Alors l’homme s’écria : Voici bien cette fois celle qui est os de mes os, chair de ma chair. On la nommera « Femme » car elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un. | L'Eternel Dieu forma une femme à partir de la côte qu'il avait prise à l'homme et il l'amena vers l'homme. L'homme dit: «Voici cette fois celle qui est faite des mêmes os et de la même chair que moi. On l'appellera femme parce qu'elle a été tirée de l'homme.» C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et ils ne feront qu’un. |