Malheur à qui conteste |avec son créateur ! Qu’es-tu de plus qu’un pot de terre |parmi des pots de terre ? L’argile dira-t-elle |à celui qui la forme : « Qu’es-tu en train de faire ? » ou l’œuvre à son potier : |« Tu n’es qu’un maladroit ! » ?
O Eternel, écoute ma prière |et sois attentif à mon cri ! Ne reste pas sourd à mes pleurs, car je ne suis, chez toi, |qu’un étranger, qu’un hôte temporaire, |tout comme mes ancêtres.
Mais pour ce qui nous concerne, il n’y a qu’un seul Dieu : le Père, de qui toute chose vient, et pour qui nous vivons, et il n’y a qu’un seul Seigneur : Jésus-Christ, par qui tout existe et par qui nous sommes.
Qu’en est-il donc de la question de la consommation des viandes sacrifiées aux idoles ? Nous savons qu’il n’existe pas d’idoles dans le monde et qu’il n’y a qu’un seul Dieu.
Mais, au commencement de la création, Dieu a créé l’être humain homme et femme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un. Ainsi, ils ne sont plus deux, ils font un. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.
Il leur répondit : N’avez-vous pas lu dans les Ecritures qu’au commencement le Créateur a créé l’être humain homme et femme et qu’il a déclaré : C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un ? Ainsi, ils ne sont plus deux, ils font un. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.
Ne délaisse pas ton ami, ni l’ami de ton père, et quand le malheur t’atteint, ne t’adresse pas à ta parenté : un voisin près de toi vaut mieux qu’un parent qui se trouve loin.
C’est donc qu’un repos de sabbat subsiste pour le peuple de Dieu. Car celui qui est entré dans le repos prévu par Dieu se repose de ses œuvres, comme Dieu s’est reposé des siennes.
C’est pourquoi, fuyez l’inconduite sexuelle. Tous les autres péchés qu’un homme peut commettre n’impliquent pas son corps, mais celui qui se livre à l’inconduite pèche contre son propre corps.
Le corps humain forme un tout, et pourtant il a beaucoup d’organes. Et tous ces organes, dans leur multiplicité, ne constituent qu’un seul corps. Il en va de même pour ceux qui sont unis à Christ.
Et nous ne portons pas notre attention sur les choses visibles, mais sur les réalités encore invisibles. Car les réalités visibles ne durent qu’un temps, mais les invisibles demeureront éternellement.
L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena à l’homme. Alors l’homme s’écria : Voici bien cette fois celle qui est os de mes os, chair de ma chair. On la nommera « Femme » car elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un.
Le Seigneur n’est pas en retard dans l’accomplissement de sa promesse, comme certains se l’imaginent, il fait simplement preuve de patience à votre égard, car il ne veut pas qu’un seul périsse. Il voudrait, au contraire, que tous parviennent à se convertir.
Quant à vous, maris, que chacun de vous aime sa femme comme Christ a aimé l’Eglise : il a donné sa vie pour elle afin de la rendre digne de se tenir devant Dieu après l’avoir purifiée par sa Parole, comme par le bain nuptial.