Lorsque les hommes justes |lancent leurs cris vers lui, |l’Eternel les entend ; aussi, il les délivre |de toutes leurs détresses. Car l’Eternel est proche |de ceux qui ont le cœur brisé. Il sauve ceux |qui ont un esprit abattu.
L’Eternel lui-même marchera devant toi, il sera avec toi, il ne te délaissera pas et il ne t’abandonnera pas. Ne crains rien et ne te laisse pas effrayer !
On nous croit affligés, et nous sommes toujours joyeux, pauvres, et nous faisons beaucoup de riches, dépourvus de tout, alors que tout nous appartient.
Et j’entendis une forte voix, venant du trône, qui disait : Voici la Tente de Dieu avec les hommes. Il habitera avec eux ; ils seront ses peuples et lui, Dieu avec eux , sera leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux. La mort ne sera plus et il n’y aura plus ni deuil, ni plainte, ni souffrance. Car ce qui était autrefois a définitivement disparu.
Ils ne connaîtront plus ni la faim, ni la soif ; ils ne souffriront plus des ardeurs du soleil, ni d’aucune chaleur brûlante. Car l’Agneau qui est au milieu du trône prendra soin d’eux comme un berger, il les conduira vers les sources d’eaux vives, et Dieu lui-même essuiera toute larme de leurs yeux.
O Eternel, écoute ma prière |et sois attentif à mon cri ! Ne reste pas sourd à mes pleurs, car je ne suis, chez toi, |qu’un étranger, qu’un hôte temporaire, |tout comme mes ancêtres.
Alors Job se leva, il déchira son manteau, se rasa la tête, puis se jeta par terre pour se prosterner. Et il dit : Je suis sorti nu du ventre de ma mère, et j’y retournerai nu. L’Eternel a donné, l’Eternel a repris : que l’Eternel soit béni !
Retourne auprès d’Ezéchias, le chef de mon peuple, et dis-lui : « Voici ce que déclare l’Eternel, le Dieu de David ton ancêtre : J’ai entendu ta prière et j’ai vu tes larmes. Je vais te guérir. Après-demain, tu pourras te rendre au temple de l’Eternel. »
En effet, la tristesse qui est bonne aux yeux de Dieu produit un changement d’attitude qui conduit au salut et qu’on ne regrette pas. La tristesse du monde, elle, produit la mort.
Les vignes sont honteuses et les figuiers s’étiolent, le grenadier et le palmier, |ainsi que le pommier, tous les arbres des champs |sont desséchés. La joie est dans la honte |parmi les hommes.
D’un côté, l’Eternel |est lent à la colère, sa puissance est immense, mais il ne laisse pas |le coupable impuni. L’Eternel fraie sa route |dans l’ouragan et la tempête, et les nuées sont la poussière |que soulèvent ses pieds.
Béni soit l’homme |qui met sa confiance |en l’Eternel et qui fonde sur l’Eternel |toute son assurance. Il sera comme un arbre |planté près d’un cours d’eau qui étend ses racines |vers le ruisseau, il ne redoute rien |lorsque vient la chaleur : ses feuilles restent vertes ; il ne s’inquiète pas pendant l’année de sécheresse, et il ne cesse pas |de produire du fruit.