Que le mari rende à sa femme l’affection qu'il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari. Ce n’est pas la femme qui est maîtresse de son corps, mais son mari. De même, ce n’est pas le mari qui est maître de son corps, mais sa femme.
Jésus répondit: «Je vous le dis en vérité, personne n'aura quitté à cause de moi et à cause de la bonne nouvelle sa maison ou ses frères, ses sœurs, sa mère, son père, sa femme, ses enfants ou ses terres, sans recevoir au centuple, dans le temps présent, des maisons, des frères, des sœurs, des mères, des enfants et des terres, avec des persécutions et, dans le monde à venir, la vie éternelle.»
Mais au commencement de la création, Dieu a fait l'homme et la femme; c'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et les deux ne feront qu’un. Ainsi, ils ne sont plus deux mais ne font qu’un. Que l'homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.
Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on? Il ne sert plus qu'à être jeté dehors et piétiné par les hommes.
Il répondit: «N'avez-vous pas lu que le Créateur, au commencement, a fait l'homme et la femme et qu'il a dit: C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et les deux ne feront qu’un? Ainsi, ils ne sont plus deux mais ne font qu’un. Que l'homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.»
C'est pourquoi, toute personne qui entend ces paroles que je dis et les met en pratique, je la comparerai à un homme prudent qui a construit sa maison sur le rocher.
L'Eternel est lent à la colère, il est grand par sa force, mais il ne laisse pas impuni. L'Eternel marche dans la tempête, dans le tourbillon; les nuages sont la poussière de ses pieds.
Il a construit son palais dans le ciel et fondé sa voûte sur la terre; il appelle l’eau de la mer et la verse à la surface de la terre. L'Eternel est son nom.