Certes, sur le moment, une correction ne semble pas être un sujet de joie mais plutôt une cause de tristesse. Mais par la suite, elle a pour fruit, chez ceux qui ont ainsi été formés, une vie juste, vécue dans la paix.
Certes, au premier abord, toute correction semble un sujet de tristesse, et non de joie, mais elle produit plus tard chez ceux qu’elle a ainsi exercés un fruit porteur de paix: la justice.
Quel est le Dieu semblable à toi, qui efface les fautes |et qui pardonne les péchés du reste de ton peuple |qui t’appartient ? Toi, tu n’entretiens pas |ta colère à jamais, mais tu prends ton plaisir |à faire grâce.
Si je devais traverser |la vallée où règnent |d’épaisses ténèbres, je ne craindrais aucun mal, |car tu es auprès de moi : ta houlette me conduit |et ton bâton me protège.