Car l’Eternel ton Dieu |est au milieu de toi |un guerrier qui te sauve. Il sera transporté de joie |à ton sujet et il te renouvellera |dans son amour pour toi. Oui, il sera dans l’allégresse |à ton sujet et poussera des cris de joie.
Les bergers s’en retournèrent, glorifiant et louant Dieu au sujet de tout ce qu’ils avaient vu et entendu : c’était bien ce que l’ange leur avait annoncé.
Certes, sur le moment, une correction ne semble pas être un sujet de joie mais plutôt une cause de tristesse. Mais par la suite, elle a pour fruit, chez ceux qui ont ainsi été formés, une vie juste, vécue dans la paix.
Nous devons toujours remercier Dieu à votre sujet, frères et sœurs, et il est juste que nous le fassions. En effet, votre foi fait de magnifiques progrès et, en chacun de vous, l’amour que vous vous portez les uns aux autres ne cesse d’augmenter.
C’est pourquoi, ne vous laissez juger par personne à propos de ce que vous mangez ou de ce que vous buvez ou au sujet de l’observance des jours de fête, des nouvelles lunes ou des sabbats. Tout cela n’était que l’ombre des choses à venir : la réalité est en Christ.
Combats le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle que Dieu t’a appelé à connaître et au sujet de laquelle tu as fait cette belle profession de foi en présence de nombreux témoins.
Tout le monde voit bien ce qui procède de l’homme livré à lui-même : l’immoralité, les pratiques dégradantes et la débauche, l’adoration des idoles et la magie, les haines, les querelles, la jalousie, les accès de colère, les rivalités, les dissensions, les divisions, l’envie, l’ivrognerie, les orgies et autres choses de ce genre. Je ne puis que répéter ce que j’ai déjà déclaré à ce sujet : ceux qui commettent de telles actions n’auront aucune part à l’héritage du royaume de Dieu.
Quant à l’immoralité et aux pratiques dégradantes sous toutes leurs formes, et à la soif de posséder, qu’il n’en soit pas même question entre vous : ce ne sont pas des sujets de conversation qui conviennent aux membres du peuple saint.
Voilà que je m’en vais par le chemin que prend tout être humain. Reconnaissez de tout votre cœur et de tout votre être qu’aucune des promesses de bienfaits que l’Eternel votre Dieu vous a faites n’est restée sans effet : elles se sont toutes accomplies pour vous, sans exception aucune.
Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde.