A travers le pays |passera un chemin frayé, |une route que l’on appellera |la route sainte. Aucun impur n’y passera, car c’est lui, l’Eternel, |qui marchera sur cette route. Les insensés ne viendront pas |s’y égarer.
Comme il est beau de voir |sur les montagnes les pas du messager |d’une bonne nouvelle, qui annonce la paix, qui parle de bonheur, et qui annonce le salut, qui dit à Sion : « Ton Dieu règne. »