A travers le pays |passera un chemin frayé, |une route que l’on appellera |la route sainte. Aucun impur n’y passera, car c’est lui, l’Eternel, |qui marchera sur cette route. Les insensés ne viendront pas |s’y égarer.
Si je devais traverser |la vallée où règnent |d’épaisses ténèbres, je ne craindrais aucun mal, |car tu es auprès de moi : ta houlette me conduit |et ton bâton me protège.