C'est moi, c'est moi qui vous console. Qui es-tu pour avoir peur de l'homme, alors qu’il va mourir, et du fils de l'homme, dont le sort est pareil à celui de l'herbe?
Travaillez, non pour la nourriture périssable, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle, celle que le Fils de l'homme vous donnera, car c'est lui que le Père, Dieu lui-même, a marqué de son empreinte.
Vivez en plein accord les uns avec les autres. N'aspirez pas à ce qui est élevé, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. Ne vous prenez pas pour des sages.