En effet, ce n’est pas par leur épée qu’ils se sont emparés du pays, ce n’est pas leur bras qui les a sauvés, mais c’est ta main droite, c’est ton bras, c’est la lumière de ton visage, parce que tu les aimais.
Ce n’est pas grâce à leur épée |qu’ils ont occupé cette terre, ni par leur propre force |qu’ils ont remporté la victoire : mais c’est par ton action puissante, car tu leur étais favorable |et les avais en affection.
Je leur donne la vie éternelle. Elles ne périront jamais et personne ne pourra les arracher à ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous et personne ne peut les arracher à la main de mon Père. Le Père et moi, nous sommes un.