Je sais vivre dans le dénuement, je sais aussi vivre dans l’abondance. C’est le secret que j’ai appris : m’accommoder à toutes les situations et toutes les circonstances, que je sois rassasié ou que j’aie faim, que je connaisse l’abondance ou que je sois dans le besoin.
En effet, si l’un de vous veut bâtir une tour, est-ce qu’il ne prend pas d’abord le temps de s’asseoir pour calculer ce qu’elle lui coûtera et de vérifier s’il a les moyens de mener son entreprise à bonne fin ?
En effet, si Dieu donne à un homme des richesses et des biens, et s’il lui accorde la possibilité d’en profiter, d’en retirer sa part et de trouver de la joie au milieu de son labeur, c’est un don de Dieu.
Nul ne peut être en même temps au service de deux maîtres, car ou bien il détestera l’un et aimera l’autre, ou bien il sera dévoué au premier et méprisera le second. Vous ne pouvez pas servir en même temps Dieu et l’Argent.
Et c’est de toi que viennent |la richesse et la gloire. Tu domines sur tout et dans ta main résident |la force et la puissance, tu détiens le pouvoir |d’élever qui tu veux |et de le rendre fort.
On nous croit affligés, et nous sommes toujours joyeux, pauvres, et nous faisons beaucoup de riches, dépourvus de tout, alors que tout nous appartient.
Puis, lorsque Job eut prié pour ses amis, l’Eternel le rétablit dans son ancienne condition. Il donna même à Job deux fois autant des biens qu’il avait possédés.
Plus on possède de biens, plus se multiplient les profiteurs. Et quel avantage en tire leur possesseur si ce n’est le spectacle que lui offrent ces gens ?
Pierre lui dit : Ananias, comment as-tu pu laisser Satan envahir à tel point ton cœur ? Tu as menti au Saint-Esprit en cachant le prix réel de ton champ pour en détourner une partie à ton profit ! N’étais-tu pas libre de garder ta propriété ? Ou même, après l’avoir vendue, ne pouvais-tu pas faire de ton argent ce que tu voulais ? Comment as-tu pu décider en toi-même de commettre une telle action ? Ce n’est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.
Un autre encore a reçu la semence « parmi les ronces ». C’est celui qui écoute la Parole, mais en qui elle ne porte pas de fruit parce qu’elle est étouffée par les soucis de ce monde et par l’attrait trompeur des richesses.
Vous avez été libérés de cette manière futile de vivre que vous ont transmise vos ancêtres et vous savez à quel prix. Ce n’est pas par des biens périssables comme l’argent et l’or. Non, il a fallu que Christ, tel un agneau pur et sans défaut, verse son sang précieux en sacrifice pour vous.
Les coutumes des autres peuples |sont inutiles, leur dieu n’est que du bois |coupé dans la forêt, travaillé au ciseau |par la main d’un sculpteur. On l’embellit d’argent ou d’or, un marteau et des clous |le font tenir en place pour qu’il ne branle pas ! Ces dieux-là sont semblables |à des épouvantails |dans un champ de concombres : ils ne savent parler, il faut qu’on les transporte car ils ne marchent pas. Ne les craignez donc pas : ils ne font pas de mal ; et ils ne peuvent pas |non plus faire du bien.
Mes amis, puisque nous possédons ce qui nous a été promis en ces termes, purifions-nous de tout ce qui corrompt le corps et l’esprit, pour mener ainsi une vie pleinement sainte, dans la crainte de Dieu.