Tu m’as fait ce que je suis, et tu m’as tissé |dans le ventre de ma mère. Je te loue |d’avoir fait de moi |une créature |aussi merveilleuse : tu fais des merveilles, et je le reconnais bien. | C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le ventre de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et je le reconnais bien. |
Quant à vous tous qui m’écoutez, voici ce que je vous dis : Aimez vos ennemis ; faites du bien à ceux qui vous haïssent ; appelez la bénédiction divine sur ceux qui vous maudissent ; priez pour ceux qui vous calomnient. | Mais je vous dis, à vous qui m'écoutez: Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous détestent, bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous maltraitent. |
C’est pourquoi je vous dis : ne vous inquiétez pas en vous demandant : « Qu’allons-nous manger ou boire ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? » La vie ne vaut-elle pas bien plus que la nourriture ? Et le corps ne vaut-il pas bien plus que les vêtements ? | C'est pourquoi je vous dis: Ne vous inquiétez pas de ce que vous mangerez et boirez pour vivre, ni de ce dont vous habillerez votre corps. La vie n'est-elle pas plus que la nourriture et le corps plus que le vêtement? |
On te l’a enseigné, ô homme, |ce qui est bien et ce que l’Eternel |attend de toi : c’est que tu te conduises |avec droiture, que tu prennes plaisir |à la bonté et que tu vives dans l’humilité |avec ton Dieu. | On t'a fait connaître, homme, ce qui est bien et ce que l'Eternel demande de toi: c'est que tu mettes en pratique le droit, que tu aimes la bonté et que tu marches humblement avec ton Dieu. |
Bien des hommes pensent être sur le bon chemin, et pourtant, ils se trouvent sur une voie qui, finalement, mène à la mort. | La voie qui paraît droite à un homme peut finalement conduire à la mort. |
Considérez les corbeaux, ils ne sèment ni ne moissonnent ; ils n’ont ni cave, ni grenier et Dieu les nourrit. Vous valez bien plus qu’eux ! | Observez les corbeaux: ils ne sèment pas et ne moissonnent pas, ils n'ont ni cave ni grenier, et Dieu les nourrit. Vous valez beaucoup plus que les oiseaux! |
A peine accepterait-on de mourir pour un juste ; peut-être quelqu’un irait-il jusqu’à mourir pour le bien. Mais voici comment Dieu nous montre l’amour qu’il a pour nous : alors que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. | A peine mourrait-on pour un juste; peut-être accepterait-on de mourir pour quelqu’un de bien. Mais voici comment Dieu prouve son amour envers nous: alors que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. |
Prenez donc bien garde, frères et sœurs, que personne parmi vous n’ait le cœur mauvais et incrédule au point de se détourner du Dieu vivant. | Faites attention, frères et sœurs: qu’aucun de vous n'ait un cœur mauvais et incrédule qui le détourne du Dieu vivant. |
Si quelqu’un qui possède du bien en ce monde voit son frère dans le besoin et lui ferme son cœur, l’amour de Dieu ne peut être présent en lui. | Si quelqu’un qui possède les biens de ce monde voit son frère dans le besoin et lui ferme son cœur, comment l'amour de Dieu peut-il demeurer en lui? |
Les bergers s’en retournèrent, glorifiant et louant Dieu au sujet de tout ce qu’ils avaient vu et entendu : c’était bien ce que l’ange leur avait annoncé. | Puis les bergers repartirent en célébrant la gloire de Dieu et en lui adressant des louanges à cause de tout ce qu'ils avaient entendu et vu et qui était conforme à ce qui leur avait été annoncé. |
Car, Celui qui souhaite aimer la vie et voir des jours heureux qu’il veille sur sa langue |pour ne faire aucun mal, et pour qu’aucun propos menteur |ne passe sur ses lèvres. Qu’il fuie le mal |et fasse ce qui est bien ; qu’il recherche la paix |avec ténacité. | Si quelqu'un, en effet, veut aimer la vie et voir des jours heureux, qu'il préserve sa langue du mal et ses lèvres des paroles trompeuses, qu'il se détourne du mal et fasse le bien, qu'il recherche la paix et la poursuive. |
Une richesse acquise par des moyens douteux se dissipe ; amassée peu à peu, elle se multiplie. | Une fortune mal acquise diminue, mais celui qui amasse peu à peu augmente son bien. |
Savoir donner la bonne réponse est une source de joie, et combien est agréable une parole dite à propos. | On éprouve de la joie à bien répondre, et qu’une parole dite à propos est agréable! |
Mais il y a une différence entre la faute et le don de la grâce ! En effet, si la faute d’un seul a eu pour conséquence la mort de beaucoup, à bien plus forte raison la grâce de Dieu, don gratuit qui vient d’un seul homme, Jésus-Christ, a surabondé pour beaucoup. | Mais il y a une différence entre le don gratuit et la faute. En effet, si beaucoup sont morts par la faute d'un seul, la grâce de Dieu et le don de la grâce qui vient d'un seul homme, Jésus-Christ, ont bien plus abondamment été déversés sur beaucoup. |
L’homme qui est bon tire le bien du bon trésor de son cœur ; celui qui est mauvais tire le mal de son mauvais fonds. Ce qu’on dit vient de ce qui remplit le cœur. | L'homme bon tire de bonnes choses du bon trésor de son cœur, et celui qui est mauvais tire de mauvaises choses du mauvais trésor de son cœur. En effet, sa bouche exprime ce dont son cœur est plein. |
Tout le peuple venait se faire baptiser, et Jésus fut aussi baptisé. Or, pendant qu’il priait, le ciel s’ouvrit et le Saint-Esprit descendit sur lui, sous une forme corporelle, comme une colombe. Une voix retentit alors du ciel : Tu es mon Fils bien-aimé, tu fais toute ma joie. | Comme tout le peuple était baptisé, Jésus aussi fut baptisé. Pendant qu'il priait, le ciel s'ouvrit et le Saint-Esprit descendit sur lui sous une forme corporelle, comme une colombe. Et une voix fit entendre du ciel ces paroles: «Tu es mon Fils bien-aimé, tu as toute mon approbation.» |
Mes chers amis, puisque Dieu nous a tant aimés, nous devons, nous aussi, nous aimer les uns les autres. | Bien-aimés, puisque Dieu nous a tant aimés, nous devons nous aussi nous aimer les uns les autres. |
Car un jour dans tes parvis |vaut bien mieux que mille ailleurs. Plutôt rester sur le seuil |de la maison de mon Dieu, que de demeurer |sous les tentes des méchants. | Mieux vaut un jour dans tes parvis que 1000 ailleurs. Je préfère me tenir sur le seuil de la maison de mon Dieu plutôt que d’habiter sous les tentes des méchants. |
Donne à tous ceux qui te demandent, et si quelqu’un te prend ce qui t’appartient, n’exige pas qu’il te le rende. | Donne à toute personne qui t’adresse une demande et ne réclame pas ton bien à celui qui s'en empare. |
Maintenant, si vous m’obéissez et si vous restez fidèles à mon alliance, vous serez pour moi un peuple précieux parmi tous les peuples, bien que toute la terre m’appartienne. | Maintenant, si vous écoutez ma voix et si vous gardez mon alliance, vous m'appartiendrez personnellement parmi tous les peuples, car toute la terre m’appartient. |
Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde. | Je vous ai dit cela afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez à souffrir dans le monde, mais prenez courage: moi, j'ai vaincu le monde. |
Cher ami, je souhaite que tu prospères à tous égards et que tu sois en aussi bonne santé physique que tu l’es spirituellement. | Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tout point de vue et sois en bonne santé, à l’image de ton âme. |
Allez donc apprendre quel est le sens de cette parole : Ce que je veux, c’est la compassion bien plus que les sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. | Allez apprendre ce que signifie: Je désire la bonté, et non les sacrifices. En effet, je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs, à changer d’attitude. |
Ta délivrance |me sert de bouclier, de ta main droite, |tu me soutiens, et ta sollicitude me grandit. Tu m’amènes à marcher |sur un chemin bien large, mes jambes ne fléchissent pas. | Tu me donnes le bouclier de ton salut, ta main droite me soutient, et je deviens grand par ta bonté. Tu élargis le chemin sous mes pas, et mes pieds ne trébuchent pas. |
Le peu que possède |celui qui est juste vaut bien mieux que la richesse |de nombreux méchants. Les méchants verront |leur pouvoir brisé, mais l’Eternel reste |le soutien des justes. | Mieux vaut le peu du juste que l’abondance de nombreux méchants, car la force des méchants sera brisée, tandis que l’Eternel soutient les justes. |