Mais il y a un fait que vous ne devez pas oublier, mes chers amis : c’est que, pour le Seigneur, un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour.
Vous savez tout cela, mes chers frères et sœurs. Mais que chacun de vous soit toujours prêt à écouter, qu’il ne se hâte pas de parler, ni de se mettre en colère.
Je vous engage instamment, chers frères et sœurs, à prendre garde à ceux qui sèment la division et égarent les autres en s’opposant à l’enseignement que vous avez reçu. Eloignez-vous d’eux.
Mais attention, mes chers amis, ne vous fiez pas à n’importe quel esprit ; mettez les esprits à l’épreuve pour voir s’ils viennent de Dieu, car bien des prophètes de mensonge se sont répandus à travers le monde.
C’est pourquoi, mes chers frères et sœurs, soyez fermes, ne vous laissez pas ébranler, travaillez sans relâche pour le Seigneur, sachant que la peine que vous vous donnez au service du Seigneur n’est pas inutile.
Mes chers amis, si notre cœur ne nous condamne pas, nous sommes pleins d’assurance devant Dieu. Il nous donne ce que nous lui demandons, parce que nous obéissons à ses commandements et que nous faisons ce qui lui plaît.
Mais vous, mes chers amis, bâtissez votre vie sur le fondement de votre foi très sainte. Priez par le Saint-Esprit. Maintenez-vous dans l’amour de Dieu en attendant que notre Seigneur Jésus-Christ, dans sa compassion, vous accorde la vie éternelle.
Mes chers amis, dès à présent nous sommes enfants de Dieu et ce que nous serons un jour n’a pas encore été rendu manifeste. Nous savons que lorsque Christ paraîtra, nous serons semblables à lui, car nous le verrons tel qu’il est. Tous ceux qui fondent sur Christ une telle espérance se rendent eux-mêmes purs, tout comme Christ est pur.
Ainsi, puisque Dieu vous a choisis pour faire partie du peuple saint et qu’il vous aime, revêtez-vous d’ardente bonté, de bienveillance, d’humilité, de douceur, de patience.