Reconnais dans ton cœur que l'Eternel, ton Dieu, t’éduque comme un homme éduque son enfant. | Ainsi, en y réfléchissant, tu reconnaîtras que l’Eternel ton Dieu fait ton éducation comme un père éduque son enfant. |
Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même et que la femme respecte son mari. | Quant à vous, que chaque mari aime sa femme comme lui-même, et que chaque femme témoigne un profond respect à son mari. |
Comme un père a compassion de ses enfants, l’Eternel a compassion de ceux qui le craignent. | Et, comme un père |est rempli de tendresse |pour ses enfants, l’Eternel est plein de tendresse |en faveur de ceux qui le craignent. |
Tout comme l'eau reflète un visage, le cœur de l'homme reflète l'homme. | Regardez dans l’eau : vous verrez votre propre visage s’y réfléchir. Sondez le cœur d’un homme : vous verrez s’y réfléchir votre propre cœur. |
Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ. | En effet, de même que tous les hommes meurent du fait de leur union avec Adam, tous seront ramenés à la vie du fait de leur union avec Christ. |
En effet, toute la loi est accomplie dans cette seule parole: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. | Car la Loi se trouve accomplie tout entière par l’obéissance à cette seule parole : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. |
Jésus leur dit de nouveau: «Que la paix soit avec vous! Tout comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie.» | Que la paix soit avec vous, leur dit-il de nouveau. Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie. |
Tout comme le fer aiguise le fer, l’homme s’aiguise au contact de son prochain. | Le fer s’aiguise par le fer, et le visage de l’homme s’affine au contact de son prochain. |
Peut-on refuser l'eau du baptême à ceux qui ont reçu le Saint-Esprit tout comme nous? | Alors Pierre demanda : Peut-on refuser de baptiser dans l’eau ceux qui ont reçu l’Esprit Saint aussi bien que nous ? |
Et comme des enfants nouveau-nés désirez le lait pur de la parole. Ainsi, grâce à lui vous grandirez pour le salut. | Comme des enfants nouveau-nés, désirez ardemment le lait pur de la Parole, afin qu’il vous fasse grandir en vue du salut. |
Soyez sobres, restez vigilants: votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer. | Faites preuve de modération et soyez vigilants. Votre adversaire, le diable, rôde autour de vous comme un lion rugissant, qui cherche quelqu’un à dévorer. |
Voici le deuxième: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas d'autre commandement plus grand que ceux-là. | Et voici celui qui vient en second rang : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus important que ceux-là. |
C'est pourquoi encouragez-vous les uns les autres et édifiez-vous mutuellement, comme vous le faites déjà. | C’est pourquoi encouragez-vous les uns les autres et aidez-vous mutuellement à grandir dans la foi, comme vous le faites déjà. |
C'est ainsi que les maris doivent aimer leur femme comme leur propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. | Voilà comment chaque mari doit aimer sa femme comme si elle était son propre corps : ainsi celui qui aime sa femme s’aime lui-même. |
Lorsque j'ai commencé à parler, le Saint-Esprit est descendu sur eux, comme sur nous au début. | J’ai donc commencé à leur parler, quand l’Esprit Saint est descendu sur eux, de la même manière qu’il était descendu sur nous au commencement. |
Que l'Eternel, notre Dieu, soit avec nous, comme il l’a été avec nos ancêtres! Qu'il ne nous abandonne pas et ne nous délaisse pas. | Que l’Eternel, notre Dieu, soit avec nous, comme il a été avec nos ancêtres ! Qu’il ne nous abandonne jamais, qu’il ne nous délaisse pas. |
Soyez bons et pleins de compassion les uns envers les autres; pardonnez-vous réciproquement comme Dieu nous a pardonné en Christ. | Soyez bons et compréhensifs les uns envers les autres. Pardonnez-vous réciproquement comme Dieu vous a pardonné en Christ. |
Je vous donne un commandement nouveau: Aimez-vous les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. | Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres. Oui, comme je vous ai aimés, aimez-vous les uns les autres. |
La fortune du riche est sa forteresse: dans son imagination, elle est comme une haute muraille. | La fortune du riche lui tient lieu de place forte, il s’imagine qu’ils sont un rempart inaccessible. |
Heureuse la nation dont l’Eternel est le Dieu, heureux le peuple qu’il choisit comme son héritage! | Heureux le peuple |dont l’Eternel est Dieu, oui, le peuple qu’il s’est choisi |pour patrimoine. |
Car si autrefois vous étiez ténèbres, maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Conduisez-vous comme des enfants de lumière! | Autrefois, certes, vous apparteniez aux ténèbres, mais à présent, par votre union avec le Seigneur, vous appartenez à la lumière. Comportez-vous donc comme des enfants de la lumière. |
En effet, c’est l'Evangile qui révèle la justice de Dieu par la foi et pour la foi, comme cela est écrit: Le juste vivra par la foi. | En effet, cet Evangile nous révèle en quoi consiste la justice que Dieu accorde : elle est reçue par la foi et rien que par la foi, comme il est dit dans l’Ecriture : Le juste vivra grâce à la foi. |
Le vainqueur, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, tout comme moi aussi j'ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône. | Le vainqueur, je le ferai siéger avec moi sur mon trône, comme moi-même, je suis allé siéger avec mon Père sur son trône après avoir remporté la victoire. |
Veux-tu la poursuivre du regard? La voilà disparue! En effet, la richesse se fait des ailes et, comme l'aigle, elle prend son envol vers le ciel. | A peine as-tu fixé tes regards sur la fortune que, déjà, elle s’est évanouie, car elle se fait des ailes et s’envole comme l’aigle en plein ciel. |
En effet, c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l'être, comme l’ont aussi dit quelques-uns de vos poètes: ‘Nous sommes aussi de sa race.’ | En effet, « c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l’être », comme l’ont aussi affirmé certains de vos poètes, car « nous sommes ses enfants ». |