Ainsi donc, puisque Christ a souffert dans son corps, armez-vous aussi de la même pensée. En effet, celui qui a souffert dans son corps a rompu avec le péché. | Ainsi donc, puisque Christ a souffert pour nous dans son corps, vous aussi armez-vous de la même pensée: celui qui a souffert dans son corps en a fini avec le péché. |
Le corps humain forme un tout, et pourtant il a beaucoup d’organes. Et tous ces organes, dans leur multiplicité, ne constituent qu’un seul corps. Il en va de même pour ceux qui sont unis à Christ. | Le corps forme un tout mais a pourtant plusieurs organes, et tous les organes du corps, malgré leur grand nombre, ne forment qu'un seul corps. Il en va de même pour Christ. |
Ne craignez donc pas ceux qui peuvent tuer le corps, mais qui n’ont pas le pouvoir de faire mourir l’âme. Craignez plutôt celui qui peut vous faire périr corps et âme dans l’enfer. | Ne redoutez pas ceux qui tuent le corps mais qui ne peuvent pas tuer l'âme. Redoutez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps en enfer. |
C’est pourquoi, fuyez l’inconduite sexuelle. Tous les autres péchés qu’un homme peut commettre n’impliquent pas son corps, mais celui qui se livre à l’inconduite pèche contre son propre corps. | Fuyez l'immoralité sexuelle. Tout autre péché qu'un homme commet est extérieur à son corps, mais celui qui se livre à l'immoralité sexuelle pèche contre son propre corps. |
D’aimables paroles sont comme un rayon de miel : douces pour l’âme et bienfaisantes pour le corps. | Les paroles agréables sont un rayon de miel: elles sont douces pour l'âme et porteuses de guérison pour le corps. |
Mon corps peut s’épuiser |et mon cœur défaillir, Dieu reste mon rocher, |et mon bien précieux pour toujours. | Mon corps et mon cœur peuvent s’épuiser, Dieu sera toujours le rocher de mon cœur et ma bonne part. |
Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari. Car le corps de la femme ne lui appartient plus, il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus, il est à sa femme. | Que le mari rende à sa femme l’affection qu'il lui doit et que la femme agisse de même envers son mari. Ce n’est pas la femme qui est maîtresse de son corps, mais son mari. De même, ce n’est pas le mari qui est maître de son corps, mais sa femme. |
Voilà comment chaque mari doit aimer sa femme comme si elle était son propre corps : ainsi celui qui aime sa femme s’aime lui-même. | C'est ainsi que les maris doivent aimer leur femme comme leur propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. |
Chacun de nous a, dans un seul corps, de nombreux organes ; mais ces organes n’ont pas la même fonction. De même, alors que nous sommes nombreux, nous formons ensemble un seul corps par notre union avec Christ, et nous sommes tous, et chacun pour sa part, membres les uns des autres. | En effet, de même que nous avons plusieurs membres dans un seul corps et que tous les membres n'ont pas la même fonction, de même, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ et nous sommes tous membres les uns des autres, chacun pour sa part. |
Ou bien encore, ignorez-vous que votre corps est le temple même du Saint-Esprit qui vous a été donné par Dieu et qui, maintenant, demeure en vous ? Vous ne vous appartenez donc pas à vous-mêmes. Car vous avez été rachetés à grand prix. Honorez donc Dieu dans votre corps. | Ne le savez-vous pas? Votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous et que vous avez reçu de Dieu. Vous ne vous appartenez pas à vous-mêmes, car vous avez été rachetés à un grand prix. Rendez donc gloire à Dieu dans votre corps et dans votre esprit qui appartiennent à Dieu. |
Se tenir à l’écart des querelles fait honneur à l’homme, mais tout insensé s’y jette à corps perdu. | C'est une gloire pour l'homme d'éviter les disputes, mais un fou s'y engage. |
Il y a un seul corps et un seul Esprit ; de même, Dieu vous a fait venir à lui en vous donnant une seule espérance : celle à laquelle vous avez été appelés. | Il y a un seul corps et un seul Esprit, de même que vous avez été appelés à une seule espérance par votre vocation. |
Ne vous inquiétez pas en vous demandant : Qu’allons-nous manger ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? La vie vaut bien plus que la nourriture. Le corps vaut bien plus que le vêtement. | Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de ce dont vous serez habillés. La vie est plus que la nourriture et le corps plus que le vêtement. |
Que la paix instaurée par Christ gouverne vos décisions. Car c’est à cette paix que Dieu vous a appelés pour former un seul corps. Soyez reconnaissants. | Que la paix de Christ, à laquelle vous avez été appelés pour former un seul corps, règne dans votre cœur. Et soyez reconnaissants. |
Je traite durement mon corps, je le maîtrise sévèrement, de peur qu’après avoir proclamé l’Evangile aux autres, je ne me trouve moi-même disqualifié. | Au contraire, je traite durement mon corps et je le discipline, de peur d'être moi-même disqualifié après avoir prêché aux autres. |
O Dieu, tu es mon Dieu ! |C’est toi que je recherche. Mon âme a soif de toi, mon corps même ne cesse |de languir après toi comme une terre aride, |desséchée et sans eau. | O Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche. Mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi, dans une terre aride, desséchée, sans eau. |
Ne te prends pas pour un sage, crains l’Eternel et détourne-toi du mal. Ce sera une bonne médecine qui t’assurera la santé du corps et la vitalité de tout ton être. | Ne te prends pas pour un sage, crains l'Eternel et détourne-toi du mal: cela apportera la guérison à ton corps et un rafraîchissement à tes os. |
Ensuite il prit du pain, remercia Dieu, le partagea en morceaux qu’il leur donna en disant : Ceci est mon corps qui est donné pour vous. Faites cela en souvenir de moi. | Ensuite il prit du pain et, après avoir remercié Dieu, il le rompit et le leur donna en disant: «Ceci est mon corps qui est donné pour vous. Faites ceci en souvenir de moi.» |
Il est lui-même la tête de son corps qui est l’Eglise. Ce Fils est le commencement, le Premier-né de tous ceux qui sont morts, afin qu’en toutes choses il ait le premier rang. | Il est la tête du corps qu’est l'Eglise; il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en tout le premier. |
Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus habite en vous, celui qui a ressuscité Christ rendra aussi la vie à votre corps mortel par son Esprit qui habite en vous. | Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus habite en vous, celui qui a ressuscité Christ rendra aussi la vie à votre corps mortel par son Esprit qui habite en vous. |
Moi, je suis le pain vivant descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain-là, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai pour que le monde vive, c’est mon propre corps. | Je suis le pain vivant descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement, et le pain que je donnerai, c'est mon corps, que je donnerai pour la vie du monde. |
Il a pris nos péchés sur lui et les a portés dans son corps, sur la croix, afin qu’étant morts pour le péché, nous menions une vie juste. Oui, c’est par ses blessures que vous avez été guéris. | Lui qui a lui-même porté nos péchés dans son corps à la croix afin que, libérés du péché, nous vivions pour la justice. C’est par ses blessures que vous avez été guéris. |
Car chacun de nous commet des fautes de bien des manières. Celui qui ne commet jamais de faute dans ses paroles est un homme parvenu à l’état d’adulte, capable de maîtriser aussi son corps tout entier. | En effet, nous trébuchons tous de bien des manières. Si quelqu'un ne trébuche pas en paroles, c'est un homme mûr, capable de tenir tout son corps en bride. |
C’est pourquoi je vous dis : ne vous inquiétez pas en vous demandant : « Qu’allons-nous manger ou boire ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? » La vie ne vaut-elle pas bien plus que la nourriture ? Et le corps ne vaut-il pas bien plus que les vêtements ? | C'est pourquoi je vous dis: Ne vous inquiétez pas de ce que vous mangerez et boirez pour vivre, ni de ce dont vous habillerez votre corps. La vie n'est-elle pas plus que la nourriture et le corps plus que le vêtement? |
Au cours du repas, Jésus prit du pain puis, après avoir prononcé la prière de reconnaissance, il le partagea en morceaux, puis il les donna à ses disciples, en disant : Prenez, mangez, ceci est mon corps. | Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain et prononça la prière de bénédiction, puis il le rompit et le donna aux disciples en disant: «Prenez, mangez, ceci est mon corps.» |