Femmes, soyez soumises chacune à son mari, comme il convient à des femmes qui appartiennent au Seigneur. Maris, aimez chacun votre femme et ne nourrissez pas d’aigreur contre elles.
Je veux que les femmes agissent de même, en s’habillant décemment, avec discrétion et simplicité. Qu’elles ne se parent pas d’une coiffure recherchée, d’or, de perles ou de toilettes somptueuses, mais plutôt d’œuvres bonnes, comme il convient à des femmes qui déclarent vivre pour Dieu.
Vous femmes, en particulier, chacune à son mari, et cela par égard pour le Seigneur. Le mari, en effet, est le chef de sa femme comme Christ est la tête, le chef de l’Eglise qui est son corps et dont il est le Sauveur.
Mais l’ange, s’adressant aux femmes, leur dit : Vous autres, n’ayez pas peur ; je sais que vous cherchez Jésus, qui a été crucifié. Il n’est plus ici, car il est ressuscité comme il l’avait dit. Venez voir l’endroit où il était couché.
Vous n’opprimerez pas la veuve ni l’orphelin. Si vous les opprimez et qu’ils fassent monter leur plainte vers moi, je ne manquerai pas d’écouter leur cri, je me mettrai en colère contre vous et je vous ferai périr par la guerre, de sorte que vos femmes deviendront veuves et vos fils orphelins.
Oui, ils ont délibérément échangé la vérité concernant Dieu contre le mensonge, ils ont adoré la créature et lui ont rendu un culte, au lieu du Créateur, lui qui est béni éternellement. Amen ! Voilà pourquoi Dieu les a abandonnés à des passions avilissantes : leurs femmes ont renoncé aux relations sexuelles naturelles pour se livrer à des pratiques contre nature. Les hommes, de même, délaissant les rapports naturels avec le sexe féminin, se sont enflammés de désir les uns pour les autres ; ils ont commis entre hommes des actes honteux et ont reçu en leur personne le salaire que méritaient leurs égarements. Ils n’ont pas jugé bon de connaître Dieu, c’est pourquoi Dieu les a abandonnés à leur pensée faussée, si bien qu’ils font ce qu’on ne doit pas.