Et pourtant, l’Eternel attend |le moment de vous faire grâce et il se lèvera |pour vous manifester |sa compassion, car l’Eternel est un Dieu juste. Heureux tous ceux |qui se confient en lui !
Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection. La seconde mort n’a pas prise sur eux. Ils seront prêtres de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant les mille ans.
Et l’Eternel notre Dieu nous a ordonné d’appliquer toutes ces lois et de le craindre ainsi, afin que nous soyons toujours heureux et qu’il nous accorde de vivre comme il l’a fait jusqu’à ce jour.
Voici, au contraire, un homme qui scrute la loi parfaite qui donne la liberté : il lui demeure fidèlement attaché et, au lieu de l’oublier après l’avoir entendue, il y conforme ses actes ; cet homme sera heureux dans tout ce qu’il fait.
Obéis à ses lois et à ses commandements que je te transmets aujourd’hui, afin que tu sois heureux, toi et tes enfants après toi, et que tu vives de nombreux jours dans le pays que l’Eternel ton Dieu te donne pour toujours.
Car, Celui qui souhaite aimer la vie et voir des jours heureux qu’il veille sur sa langue |pour ne faire aucun mal, et pour qu’aucun propos menteur |ne passe sur ses lèvres. Qu’il fuie le mal |et fasse ce qui est bien ; qu’il recherche la paix |avec ténacité.
Dieu accorde aux gens seuls |une famille. Il donne aux prisonniers |de sortir libres, dans la joie. Seuls les rebelles |sont confinés |dans un désert aride.
Au jour du bonheur, jouis du bonheur, et au jour du malheur, réfléchis, car Dieu a fait l’un et l’autre, de sorte que l’homme ne puisse rien deviner de son avenir.
Et maintenant, Israël, qu’attend de toi l’Eternel ton Dieu ? Simplement que tu le craignes en suivant toutes les voies qu’il t’a prescrites, en l’aimant et en le servant de tout ton cœur et de tout ton être, en observant ses commandements et ses lois que je te prescris aujourd’hui pour ton bien.
Il leur répondit : Si quelqu’un a deux chemises, qu’il en donne une à celui qui n’en a pas. Si quelqu’un a de quoi manger, qu’il partage avec celui qui n’a rien.