Ainsi, lorsque vous verrez ces franges, vous penserez à tous les commandements de l’Eternel pour les appliquer et vous ne vous égarerez pas en suivant les désirs de votre cœur et de vos yeux qui vous incitent à l’infidélité.
Lorsque les hommes justes |lancent leurs cris vers lui, |l’Eternel les entend ; aussi, il les délivre |de toutes leurs détresses. Car l’Eternel est proche |de ceux qui ont le cœur brisé. Il sauve ceux |qui ont un esprit abattu.
Car j’ai le vif désir d’aller vous voir pour vous transmettre quelque don de la grâce, par l’Esprit, en vue d’affermir votre foi, ou mieux : pour que, lorsque je serai parmi vous, nous nous encouragions mutuellement, vous et moi, par la foi qui nous est commune.
Ainsi, lorsque tu donnes quelque chose aux pauvres, ne le claironne pas partout. Ce sont les hypocrites qui agissent ainsi dans les synagogues et dans les rues pour que les gens chantent leurs louanges. Vraiment, je vous l’assure : leur récompense, ils l’ont d’ores et déjà reçue.
Il n’est plus ici, mais il est ressuscité. Rappelez-vous ce qu’il vous disait quand il était encore en Galilée : « Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié, et qu’il ressuscite le troisième jour. »
Alors Pierre s’approcha de Jésus et lui demanda : Seigneur, si mon frère se rend coupable à mon égard, combien de fois devrai-je lui pardonner ? Irai-je jusqu’à sept fois ? – Non, lui répondit Jésus, je ne te dis pas d’aller jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois.
Mes chers amis, dès à présent nous sommes enfants de Dieu et ce que nous serons un jour n’a pas encore été rendu manifeste. Nous savons que lorsque Christ paraîtra, nous serons semblables à lui, car nous le verrons tel qu’il est. Tous ceux qui fondent sur Christ une telle espérance se rendent eux-mêmes purs, tout comme Christ est pur.
Béni soit l’homme |qui met sa confiance |en l’Eternel et qui fonde sur l’Eternel |toute son assurance. Il sera comme un arbre |planté près d’un cours d’eau qui étend ses racines |vers le ruisseau, il ne redoute rien |lorsque vient la chaleur : ses feuilles restent vertes ; il ne s’inquiète pas pendant l’année de sécheresse, et il ne cesse pas |de produire du fruit.
Un jour de sabbat, Jésus traversait des champs de blé, et ses disciples, tout en marchant, cueillaient des épis. Les pharisiens le firent remarquer à Jésus : Regarde ! Pourquoi tes disciples font-ils le jour du sabbat ce qui est interdit ce jour-là ? Il leur répondit : N’avez-vous jamais lu ce qu’a fait David lorsque lui et ses compagnons ont eu faim et qu’ils n’avaient rien à manger ? Il est entré dans le sanctuaire de Dieu (ce récit se trouve dans la section où il est question du grand-prêtre Abiatar), il a mangé les pains exposés devant Dieu que seuls les prêtres ont le droit de manger, et il en a donné aussi à ses hommes. Et il ajouta : Le sabbat a été fait pour l’homme, et non pas l’homme pour le sabbat. C’est pourquoi le Fils de l’homme est aussi maître du sabbat.
Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité ! Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu. Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat ! Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ? Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.
Et Jésus répondit : Moi, je suis le pain qui donne la vie. Celui qui vient à moi n’aura plus jamais faim, celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif.