Mais moi je t’offrirai |un sacrifice |en disant ma reconnaissance, et je m’acquitterai |des vœux que j’ai formés, car c’est de l’Eternel |que vient la délivrance.
Car je n’ai pas honte de l’Evangile : c’est la puissance de Dieu par laquelle il sauve tous ceux qui croient, les Juifs en premier lieu et aussi les non-Juifs.
Ta délivrance |me sert de bouclier, de ta main droite, |tu me soutiens, et ta sollicitude me grandit. Tu m’amènes à marcher |sur un chemin bien large, mes jambes ne fléchissent pas.
Car le figuier |ne bourgeonnera plus, et il n’y aura plus |de raisins dans les vignes, le fruit de l’olivier |trompera les espoirs, les champs ne produiront |plus de pain à manger. Les moutons et les chèvres |disparaîtront de leurs enclos, et les bovins de leurs étables. Mais moi, c’est à cause de l’Eternel |que je veux me réjouir, j’exulterai de joie |à cause du Dieu qui me sauve.
Que votre conduite ne soit pas guidée par l’amour de l’argent. Contentez-vous de ce que vous avez présentement. Car Dieu lui-même a dit : Je ne te laisserai pas : non, je ne t’abandonnerai jamais.