Et pourtant, Eternel, |toi, tu es notre père. Nous, nous sommes l’argile, et tu es le potier |qui nous a façonnés : nous sommes tous l’ouvrage |que tes mains ont formé.
Si je devais traverser |la vallée où règnent |d’épaisses ténèbres, je ne craindrais aucun mal, |car tu es auprès de moi : ta houlette me conduit |et ton bâton me protège.