Quand les biens sont nombreux, ceux qui les mangent le sont aussi, et quel avantage en tire leur possesseur? Il ne peut que les voir de ses propres yeux!
La foule de ceux qui avaient cru n'était qu'un cœur et qu'une âme. Personne ne disait que ses biens lui appartenaient en propre, mais ils mettaient tout en commun.
Et même, si un homme a reçu de Dieu des richesses et des biens, s'il lui a donné le pouvoir d'en manger, d'en prendre sa part et de se réjouir au milieu de son travail, c'est un cadeau de Dieu.
Jésus lui dit: «Si tu veux être parfait, va vendre ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi.»
L'Eternel dit à Satan: «Voici tout ce qui lui appartient: je te le livre. Seulement, ne porte pas la main sur lui.» Satan se retira alors de la présence de l'Eternel.
Ainsi vous serez enrichis à tout point de vue pour toutes sortes d’actes de générosité qui, par notre intermédiaire, feront monter des prières de reconnaissance vers Dieu.
En effet, tout ce qui est dans le monde – la convoitise qui est dans l’homme, la convoitise des yeux et l’orgueil dû aux richesses – vient non du Père, mais du monde.
Vous le savez en effet, ce n'est pas par des choses corruptibles comme l'argent ou l'or que vous avez été rachetés de la manière de vivre dépourvue de sens que vous avaient transmise vos ancêtres, mais par le sang précieux de Christ, qui s’est sacrifié comme un agneau sans défaut et sans tache.