C’est à l’Eternel votre Dieu que vous rendrez un culte, c’est lui que vous craindrez ; vous obéirez à ses commandements, vous l’écouterez, c’est à lui seul que vous rendrez un culte, et c’est à lui seul que vous vous attacherez. | C’est l’Eternel, votre Dieu, que vous suivrez et c’est lui que vous craindrez. Ce sont ses commandements que vous respecterez, c’est à lui que vous obéirez, c’est lui que vous servirez et c’est à lui que vous vous attacherez. |
Pour sûr, c’est à Dieu seul |que, dans le calme, |je me remets : mon salut vient de lui. | Oui, c’est en Dieu que mon âme se confie; de lui vient mon salut. |
Jamais, je n’oublierai |tes ordonnances, car c’est par elles |que tu me vivifies. | Je n’oublierai jamais tes décrets, car c’est par eux que tu me fais vivre. |
Mes amis, ne vous vengez pas vous-mêmes, mais laissez agir la colère de Dieu, car il est écrit : C’est à moi qu’il appartient de faire justice ; c’est moi qui rendrai à chacun son dû. | Ne vous vengez pas vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère de Dieu, car il est écrit: C’est à moi qu’appartient la vengeance, c’est moi qui donnerai à chacun ce qu’il mérite, dit le Seigneur. |
Ce n’est pas grâce à leur épée |qu’ils ont occupé cette terre, ni par leur propre force |qu’ils ont remporté la victoire : mais c’est par ton action puissante, car tu leur étais favorable |et les avais en affection. | En effet, ce n’est pas par leur épée qu’ils se sont emparés du pays, ce n’est pas leur bras qui les a sauvés, mais c’est ta main droite, c’est ton bras, c’est la lumière de ton visage, parce que tu les aimais. |
Celui qui commet le péché viole la Loi de Dieu, car le péché, c’est la violation de cette Loi. | Tous ceux qui pratiquent le péché violent la loi, puisque le péché, c’est la violation de la loi. |
Prenez le salut pour casque et l’épée de l’Esprit, c’est-à-dire la Parole de Dieu. | Faites aussi bon accueil au casque du salut et à l'épée de l'Esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu. |
Qui est ce Roi glorieux ? Le Seigneur des armées célestes, c’est lui le Roi glorieux. Pause | Qui donc est ce roi de gloire? L’Eternel, le maître de l’univers: c’est lui le roi de gloire! – Pause. |
Le seul sacrifice |qui convienne à Dieu, |c’est un esprit humilié. O Dieu, tu n’écartes pas |un cœur brisé et contrit. | Les sacrifices agréables à Dieu, c’est un esprit brisé. O Dieu, tu ne dédaignes pas un cœur brisé et humilié. |
Dites simplement « oui » si c’est oui, « non » si c’est non. Tous les serments qu’on y ajoute viennent du diable. | Que votre parole soit ‘oui’ pour oui, ‘non’ pour non; ce qu'on y ajoute vient du mal. |
Car c’est moi, l’Eternel, |qui suis ton Dieu, je saisis ta main droite, je te dis : Sois sans crainte, je suis là pour t’aider. | En effet, c’est moi, l'Eternel, ton Dieu, qui empoigne ta main droite et qui te dis: «N’aie pas peur! Je viens moi-même à ton secours.» |
C’est moi qui suis la porte. Celui qui entre par moi sera sauvé : il pourra aller et venir librement, il trouvera de quoi se nourrir. | C’est moi qui suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et sortira, et il trouvera de quoi se nourrir. |
Tu es mon refuge et mon bouclier, je fais confiance à ta parole. | Mon refuge et mon bouclier, c’est toi. J’espère en ta promesse. |
Car c’est en lui, c’est dans son corps, qu’habite toute la plénitude de ce qui est en Dieu. Et par votre union avec lui, vous êtes pleinement comblés, car il est le chef de toute Autorité et de toute Puissance. | En effet, c’est en lui qu’habite corporellement toute la plénitude de la divinité. Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité. |
C’est par la crainte de l’Eternel que commence la connaissance, mépriser la sagesse et l’éducation, c’est être un insensé. | La connaissance commence par la crainte de l'Eternel. Il faut être fou pour mépriser la sagesse et l'instruction. |
L’Eternel combattra pour vous, et vous, tenez-vous tranquilles. | C’est l'Eternel qui combattra pour vous. Quant à vous, gardez le silence! |
Ah ! Seigneur Eternel ! C’est toi qui as créé le ciel et la terre par ta grande puissance, et en déployant ta force. Pour toi rien n’est trop extraordinaire. | Seigneur Eternel, c’est toi qui as fait le ciel et la terre par ta grande puissance et ta force. Rien n'est trop difficile pour toi. |
Oui, remets-toi, mon âme, |à Dieu seul, dans le calme : mon espoir vient de lui. | Oui, mon âme, repose-toi sur Dieu, car c’est de lui que vient mon espérance. |
Mais c’est pour nos péchés |qu’il a été percé, c’est pour nos fautes |qu’il a été brisé. Le châtiment |qui nous donne la paix |est retombé sur lui et c’est par ses blessures |que nous sommes guéris. | Mais lui, il était blessé à cause de nos transgressions, brisé à cause de nos fautes: la punition qui nous donne la paix est tombée sur lui, et c'est par ses blessures que nous sommes guéris. |
En effet, « c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l’être », comme l’ont aussi affirmé certains de vos poètes, car « nous sommes ses enfants ». | En effet, c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l'être, comme l’ont aussi dit quelques-uns de vos poètes: ‘Nous sommes aussi de sa race.’ |
Pour sûr, lui seul est mon rocher, |et mon Sauveur, ma forteresse, |je ne serai pas ébranlé. | Oui, c’est lui mon rocher et mon salut, ma forteresse: je ne serai pas ébranlé. |
Sachez-le donc, mes frères, c’est grâce à lui que le pardon des péchés vous est annoncé ; c’est par lui que tout homme qui croit est acquitté de toutes les fautes dont vous ne pouviez pas être acquittés par la Loi de Moïse. | Sachez-le donc, mes frères: c'est par lui que le pardon des péchés vous est annoncé et c’est par lui que toute personne qui croit est libérée de toutes les fautes dont vous ne pouviez pas être libérés par la loi de Moïse. |
Qui est Dieu, sinon l’Eternel ? Qui est un roc ? C’est notre Dieu ! | Qui est Dieu en dehors de l’Eternel, et qui est un rocher, sinon notre Dieu? |
Pour sûr, lui seul est mon rocher, |et mon Sauveur ; il est ma forteresse : |je ne serai pas ébranlé. | Oui, c’est lui mon rocher et mon salut, ma forteresse: je ne serai guère ébranlé. |
C’est moi, c’est moi qui vous console. Comment donc peux-tu craindre |l’homme qui doit mourir, ou un humain |qui a le même sort que l’herbe ? | C'est moi, c'est moi qui vous console. Qui es-tu pour avoir peur de l'homme, alors qu’il va mourir, et du fils de l'homme, dont le sort est pareil à celui de l'herbe? |