Je serai plein de joie, |l’Eternel en sera la source. J’exulterai |à cause de mon Dieu, parce qu’il m’aura revêtu |des habits du salut et qu’il m’aura enveloppé |du manteau de justice, tout comme le marié |se pare d’un turban |tout comme un prêtre, et comme la mariée |s’orne de ses bijoux.
Mais c’est pour nos péchés |qu’il a été percé, c’est pour nos fautes |qu’il a été brisé. Le châtiment |qui nous donne la paix |est retombé sur lui et c’est par ses blessures |que nous sommes guéris.
Les bergers s’en retournèrent, glorifiant et louant Dieu au sujet de tout ce qu’ils avaient vu et entendu : c’était bien ce que l’ange leur avait annoncé.
S’il l’a fait, ce n’est pas parce que nous avons accompli des actes conformes à ce qui est juste. Non. Il nous a sauvés parce qu’il a eu compassion de nous, en nous faisant passer par le bain purificateur de la nouvelle naissance, c’est-à-dire en nous renouvelant par le Saint-Esprit.
O Eternel, |veuille agir en fonction |de la compassion |et de l’amour, qui te caractérisent |depuis toujours. Ne tiens plus compte |de ces péchés de ma jeunesse, |de mes fautes passées, mais traite-moi |selon ta grâce, car tu es bon |ô Eternel !
Ne vous refusez donc pas l’un à l’autre. Vous pouvez, certes, en plein accord l’un avec l’autre, renoncer pour un temps à vos relations conjugales afin de vous consacrer davantage à la prière, mais après cela, reprenez vos rapports comme auparavant. Il ne faut pas donner à Satan l’occasion de vous tenter par votre incapacité à vous maîtriser.
Tu ne haïras pas ton frère dans ton cœur, mais tu ne manqueras pas de reprendre ton prochain pour ne pas te charger d’un péché. Tu ne te vengeras pas et tu ne garderas pas de rancune envers les membres de ton peuple, mais tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l’Eternel.
Si je devais traverser |la vallée où règnent |d’épaisses ténèbres, je ne craindrais aucun mal, |car tu es auprès de moi : ta houlette me conduit |et ton bâton me protège.