Celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas n'est pas digne de moi. | Et celui qui ne se charge pas de sa croix et ne me suit pas n’est pas digne de moi. |
Puis il dit à tous: «Si quelqu'un veut être mon disciple, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge chaque jour de sa croix et qu'il me suive.» | Puis, s’adressant à tous, il dit : Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive. |
En effet, le message de la croix est une folie pour ceux qui périssent, mais pour nous qui sommes sauvés, il est la puissance de Dieu. | En effet, la prédication de la mort de Christ sur une croix est une folie aux yeux de ceux qui se perdent. Mais pour nous qui sommes sauvés, elle est la puissance même de Dieu. |
Puis il appela la foule avec ses disciples et il leur dit: «Si quelqu'un veut être mon disciple, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix et qu'il me suive!» | Là-dessus, Jésus appela la foule ainsi que ses disciples et leur dit : Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive. |
Lui qui a lui-même porté nos péchés dans son corps à la croix afin que, libérés du péché, nous vivions pour la justice. C’est par ses blessures que vous avez été guéris. | Il a pris nos péchés sur lui et les a portés dans son corps, sur la croix, afin qu’étant morts pour le péché, nous menions une vie juste. Oui, c’est par ses blessures que vous avez été guéris. |
En ce qui me concerne, jamais je ne tirerai fierté d’autre chose que de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ. Par elle le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde. | En ce qui me concerne, je ne veux à aucun prix placer ma fierté ailleurs que dans la mort de notre Seigneur Jésus-Christ sur la croix. Par elle, en effet, le monde dominé par le mal a été crucifié pour moi, de même que moi je l’ai été pour ce monde. |
Faisons-le en gardant les regards sur Jésus, qui fait naître la foi et la mène à la perfection. En échange de la joie qui lui était réservée, il a souffert la croix en méprisant la honte qui s’y attachait et il s’est assis à la droite du trône de Dieu. | Gardons les yeux fixés sur Jésus, qui nous a ouvert le chemin de la foi et qui la porte à la perfection. Parce qu’il avait en vue la joie qui lui était réservée, il a enduré la mort sur la croix, en méprisant la honte attachée à un tel supplice, et désormais il siège à la droite du trône de Dieu. |
Lui qui est de condition divine, il n'a pas regardé son égalité avec Dieu comme un butin à préserver, mais il s'est dépouillé lui-même en prenant une condition de serviteur, en devenant semblable aux êtres humains. Reconnu comme un simple homme, il s'est humilié lui-même en faisant preuve d’obéissance jusqu'à la mort, même la mort sur la croix. | Lui qui était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition d’un serviteur en se rendant semblable aux hommes : se trouvant ainsi reconnu à son aspect, comme un simple homme, il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix. |
Nous montons à Jérusalem et le Fils de l'homme sera livré aux chefs des prêtres et aux spécialistes de la loi. Ils le condamneront à mort et le livreront aux non-Juifs pour qu'ils se moquent de lui, le fouettent et le crucifient; le troisième jour il ressuscitera. | Voici, nous montons à Jérusalem. Le Fils de l’homme y sera livré aux chefs des prêtres et aux spécialistes de la Loi. Ils le condamneront à mort, et le remettront entre les mains des païens pour qu’ils se moquent de lui, le battent à coups de fouet et le clouent sur une croix. Puis, le troisième jour, il ressuscitera. |