Enseigne-moi, ô Eternel, |la voie que tu veux que je suive, et je me conduirai |selon ta vérité. Accorde-moi un cœur |tel qu’il te craigne sans partage.
Celui qui met sa confiance en lui n’est pas condamné, mais celui qui n’a pas foi en lui est déjà condamné, car il n’a pas mis sa confiance en la personne du Fils unique de Dieu.
Aussi, ô Eternel, |nous espérons en toi ; sur les voies que tracent tes lois, oui, tout notre désir |vers toi se porte, nous voulons te garder |présent à la pensée.
Mais pour vous, cependant, vous qui me craignez, pour vous se lèvera le soleil de justice, qui portera la guérison dans ses rayons. Alors vous sortirez et vous gambaderez tout comme des veaux à l’engrais.
L’ange lui dit alors : N’aie pas peur, Marie, car Dieu t’a accordé sa faveur. Voici : bientôt tu seras enceinte et tu mettras au monde un fils ; tu le nommeras Jésus.
Car Dieu n’est pas injuste au point d’oublier l’activité que vous avez déployée, par amour pour lui, dans les services que vous avez rendus – et que vous rendez encore – à ceux qui font partie du peuple saint.
Si vous n’écoutez pas, si vous ne prenez pas à cœur de m’honorer, dit l’Eternel, le Seigneur des armées célestes, alors j’enverrai la malédiction contre vous. Et vos bénédictions, j’en ferai des malédictions. Oui, j’en fais des malédictions car aucun, parmi vous, ne prend à cœur de m’honorer.