Ils avaient fixé au-dessus de la tête de Jésus un écriteau sur lequel était inscrit, comme motif de sa condamnation : « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs. »
Un homme seul est facilement maîtrisé par un adversaire, mais à deux ils pourront tenir tête à celui-ci. Et une corde faite de trois cordelettes tressées n’est pas vite rompue.
Que personne ne vous égare d’aucune façon. Car ce jour n’arrivera pas avant qu’éclate le grand Rejet de Dieu, et que soit révélé l’homme de la révolte qui est destiné à la perdition, l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qui porte le nom de dieu, et de tout ce qui est l’objet d’une vénération religieuse. Il ira jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu en se proclamant lui-même dieu.
En effet, la tristesse qui est bonne aux yeux de Dieu produit un changement d’attitude qui conduit au salut et qu’on ne regrette pas. La tristesse du monde, elle, produit la mort.
Car un enfant est né pour nous, un fils nous est donné. Et il exercera |l’autorité royale ; il sera appelé Merveilleux Conseiller, Dieu fort, Père à jamais |et Prince de la paix.
A travers le pays |passera un chemin frayé, |une route que l’on appellera |la route sainte. Aucun impur n’y passera, car c’est lui, l’Eternel, |qui marchera sur cette route. Les insensés ne viendront pas |s’y égarer.
Tout cela arriva pour que s’accomplisse cette parole du Seigneur transmise par le prophète : Voici, la jeune fille vierge sera enceinte. Et elle enfantera un fils que l’on appellera Emmanuel, ce qui veut dire : Dieu avec nous.
Si l’on vous dit : « Regardez, il est dans le désert ! », n’y allez pas ! Si l’on prétend : « Il se cache en quelque endroit secret ! », n’en croyez rien. En effet, quand le Fils de l’homme viendra, ce sera comme l’éclair qui jaillit du levant et illumine tout jusqu’au couchant.
Je suis l’Eternel votre Dieu. Vivez selon mes lois, obéissez à mes commandements et appliquez-les. Faites de mes jours de sabbat des jours saints pour qu’ils servent de signe entre moi et vous, afin que vous reconnaissiez que moi, l’Eternel, je suis votre Dieu.
Quant à vous, l’Esprit dont vous avez été oints par Christ demeure en vous. Vous n’avez donc pas besoin que l’on vous instruise, car cet Esprit dont vous avez été oints vous enseigne tout. Il est véridique, il ne ment pas. Restez donc attachés à cet enseignement tel que vous l’avez reçu de l’Esprit.
Si donc, tout mauvais que vous êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux qui le lui demandent.