Oui, l’Eternel est bon, |et il est juste : il indique aux pécheurs |le chemin qu’il faut suivre. Les humbles, il les guide |sur le sentier du droit ; il leur enseigne |le chemin qu’il prescrit.
Je resterai le même |jusqu’à votre vieillesse et je vous soutiendrai |jusqu’à vos cheveux blancs. C’est moi qui vous ai soutenus, |et je vous porterai, oui, je vous soutiendrai |et vous délivrerai.
Qui accomplit cela ? |Qui le fait arriver ? Qui appelle à la vie les générations d’hommes |dès le commencement ? Moi, l’Eternel, |moi, qui suis le premier et qui suis avec les derniers, |oui, c’est bien moi !
Il était méprisé, |abandonné des hommes, un homme de douleur habitué à la souffrance. Oui, il était semblable |à ceux devant lesquels |on détourne les yeux. Il était méprisé, et nous n’avons fait de lui aucun cas.
Prenez mon joug sur vous et mettez-vous à mon école, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour vous-mêmes. Oui, mon joug est facile à porter et la charge que je vous impose est légère.
Venez et discutons ensemble, dit l’Eternel : si vos péchés sont rouges |comme de l’écarlate, ils deviendront aussi blancs que la neige. Oui, s’ils sont rouges |comme la pourpre, ils deviendront |aussi blancs que la laine.
Oui, mes frères et sœurs, vous avez été appelés à la liberté. Seulement, ne faites pas de cette liberté un prétexte pour vivre comme des hommes livrés à eux-mêmes. Au contraire, par amour, mettez-vous au service les uns des autres.
Car l’Eternel ton Dieu |est au milieu de toi |un guerrier qui te sauve. Il sera transporté de joie |à ton sujet et il te renouvellera |dans son amour pour toi. Oui, il sera dans l’allégresse |à ton sujet et poussera des cris de joie.
Chantez à Dieu ! |Louez-le par vos chants ! Frayez la voie |de celui qui chevauche les nuées ! Son nom est « l’Eternel ». Exultez de joie devant lui ! Il est le père |des orphelins, |le défenseur des veuves. Oui, tel est Dieu |dans sa sainte demeure.
L’Esprit de l’Eternel, |du Seigneur, est sur moi car l’Eternel m’a oint pour annoncer aux humiliés |une bonne nouvelle. Oui, il m’a envoyé |afin de panser ceux |qui ont le cœur brisé, d’annoncer aux captifs |leur délivrance et à ceux qui sont prisonniers |leur mise en liberté.
Oui, il t’a fait connaître la pauvreté et la faim, et il t’a nourri avec cette manne que tu ne connaissais pas et que tes ancêtres n’avaient pas connue. De cette manière, il voulait t’apprendre que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais aussi de toute parole prononcée par l’Eternel.
Oui, j’en ai l’absolue certitude : ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni le présent ni l’avenir, ni les puissances, ni ce qui est en haut ni ce qui est en bas, ni aucune autre créature, rien ne pourra nous arracher à l’amour que Dieu nous a témoigné en Jésus-Christ notre Seigneur.
Lui qui était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition d’un serviteur en se rendant semblable aux hommes : se trouvant ainsi reconnu à son aspect, comme un simple homme, il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix.
Si, le jour du sabbat, |tu te retiens de travailler, si tu t’abstiens |de traiter tes affaires |en ce jour qui m’est consacré, si pour toi le jour du sabbat |est un temps de délices, si ce saint jour de l’Eternel, |tu le tiens en estime et si tu le respectes en t’abstenant de faire |ce qui te plaît, de traiter tes affaires et de tenir de longs discours, alors tu trouveras |ta joie en l’Eternel, et sur les hauteurs du pays |je te ferai passer et je te donnerai |la pleine jouissance |du patrimoine |de Jacob, ton ancêtre. L’Eternel a parlé.
Oui, ils ont délibérément échangé la vérité concernant Dieu contre le mensonge, ils ont adoré la créature et lui ont rendu un culte, au lieu du Créateur, lui qui est béni éternellement. Amen ! Voilà pourquoi Dieu les a abandonnés à des passions avilissantes : leurs femmes ont renoncé aux relations sexuelles naturelles pour se livrer à des pratiques contre nature. Les hommes, de même, délaissant les rapports naturels avec le sexe féminin, se sont enflammés de désir les uns pour les autres ; ils ont commis entre hommes des actes honteux et ont reçu en leur personne le salaire que méritaient leurs égarements. Ils n’ont pas jugé bon de connaître Dieu, c’est pourquoi Dieu les a abandonnés à leur pensée faussée, si bien qu’ils font ce qu’on ne doit pas.